L'histoire de Gilles

 

Partie 1 - L’éducation de Gilles - Premier contact

Gilles, jeune garçon de 18ans, 1m85, 75kg, blond aux yeux verts, imberbe même au bas ventre, se tenait nu face à Jacques chez lequel il était venu à la demande de son amant afin « d’être dressé convenablement ».
Jacques avait vingt cinq ans, mesurait 1m90 pour 80kg, brun, portait pour tout vêtement un pantalon de cuir noir, moulant comme une seconde peau.

- Ton amant t’a envoyé chez moi afin que je t’éduque. Pendant tout ton séjour tu devras m’appeler « Maître », sauf quand nous serons en dehors de la maison. Toute omission sera sanctionnée. Tu dormiras ici. Dans huit jours au plus, ta formation sera terminée. Ton amant, s’il le juge nécessaire, pourra te renvoyer ici pour un complément. Des questions ?

- Quelle seront les sanctions, Maître ?

Un sourire éclaira le visage de Jacques :

- Ca pourra aller de la simple fessée, toujours cul nu, au martinet, voire à la cravache si nécessaire.

Gilles soupira, dit, ayant déjà compris ce qui l’attendait :

- Bien, Maître !

- Alors commençons tout de suite !

Jacques s’approcha alors de lui en souriant, d’un mouvement vif lui encercla la taille d’un bras tout en lui saisissant les poignets et se mit à lui donner une fessée.
A la première claque, sonore mais supportable, Gilles se sentit vexé : plus de peur que de mal.
Il se garda de protester : sa fierté le lui interdisait.
Les claques suivantes lui parurent plus sévères. Par réflexe, à deux reprises, il lança sa jambe en arrière.
Gilles sentit ses fesses qui roulaient sous les claques. Même si la main de Jacques lui semblait fine avec ses longs doigts, la chaleur qu’elle faisait naître à chaque nouvelle claque se diffusait rapidement dans sa chair. Très vite, il comprit qu’il avait tort de considérer la fessée comme une anodine punition.
Il se mit à éprouver une véritable douleur, sourde, envahissante, lancinante, persistante, grandissante.
Il ne voulait pas crier ni demander grâce. Ca devait cesser sous peu.

Plus la fessée se poursuivait, plus Gilles sentait ses fesses qui palpitaient. Ses jambes semblaient animées d’une vie autonome et dansaient derrière lui au rythme des claques qui résonnaient dans la grande pièce.
De plus en plus souvent, il haletait ou glapissait et cela ressemblait de plus en plus à des cris mal contenus.
Brusquement Gilles prit conscience que c’était l’érection de Jacques qui se pressait contre sa hanche entre le cuir et la peau. Il bandait ferme en le fessant. La bite était longue et épaisse.
Jacques était calme, il fessait le cul nu avec enthousiasme, avec la régularité d’un métronome et l’endurance d’un sportif.
Il traitait Gilles comme un gamin et il le redevenait. Si ça durait encore, le garçon allait finir par craquer, par crier, par pleurer. Pour une fessée ridicule !
La douleur lui brûlait la chair, la souffrance était en train de consommer son amour propre.

- Aaaaaaaye !

Gilles se mordit la lèvre, mais c’était trop tard : il venait de se trahir.
Imperturbable, Jacques continuait à le fesser, visant une fesse, puis l’autre, et au milieu, sur les cotés, à la jonction cuisses fesses avec un léger mouvement ascendant,  toujours avec une énergie constante, impitoyable, sans se soucier des cris et sanglots qui remplissaient les lieux :

- Pitié, Maître ! Asssssssez ! Plus la fessée, s’il vous plaît, Maître ! Ca me fait trop mal ! Arrêtez ! Nooooooon !

Des perles de sueur lui coulaient dans les yeux.
Un peu plus tard, Gilles hurlait sa douleur sans retenue, essayait de se libérer du carcan qui le tenait à la parfaite disposition de son fesseur.
Enfin, la correction s’arrêta.
Gilles, sitôt lâché, se massa les fesses pour en atténuer la brûlure, alors que Jacques expliquait :

- Ce n’était qu’une petite fessée afin que tu connaisses mieux mes mains, (Il agita la droite) surtout celle-ci, celle qui te fessera chaque matin à ton réveil.
Qu’en penses-tu ?

- C’est horrible, Maître ! Jamais je n’ai eu aussi mal.

- Ce n’est qu’un avant goût de ce qui t’attend ici. J’ai aussi des raquettes, un paddle, divers martinets et cravaches. Mais tu les connaîtras bientôt… Va te laver, puis reviens ici, nous allons déjeuner dehors, mais avant de sortir je vais te mettre un plug, si besoin vide tes intestins car il y restera jusqu’après dîner. Ca va élargir ton anus que je trouve un peu trop serré.

- Bien, Maître !

Dix minutes plus tard, Gilles revenait dans le séjour.
Ce qu’il vit sur la table lui fit un peu peur : le plug était recouvert de cuir noir luisant de gel gras, faisait une vingtaine de centimètres avec un gland large suivi par une colonne conique moins épaisse puis une base large qui se terminait par un goulot d’étranglement et une petite plaque terminale.
Jacques lui désigna le gros pouf de cuir rouge qu’il avait tiré au milieu de la grande pièce, commanda :

- A plat ventre, cuisses largement ouvertes.

Quand Gilles eut pris la position, son Maître s’agenouilla à ses cotés, attrapa le tube de gel, en prit une grosse noisette sur son doigt ganté de latex, étala le tout sur le trou du cul bien présenté, faisant même pénétré son doigt dans le conduit rectal. Alors que Jacques reposait le gel et s’emparait du plug, le jeune homme dit d’une toute petite voix :

- Faîtes doucement, s’il vous plaît, Maître ! Je n’ai jamais été… enculé.

Le Maître claqua le cul offert, lâcha :

- Sois sans crainte, c’est assez souple pour pénétrer, même si ça te fait un peu mal au début ; après tu t’habitueras.

Gilles sentit le cône qui se posait sur son orifice anal bien ouvert par la position prise. La main de son Maître se posa sur ses reins, s’y appuya pour l’obliger à se cambrer d’avantage et le plug commença à pénétrer.
Tout d’abord il ne passa absolument rien, puis avec la force de poussée ajoutée au gras, ça entra en écartant l’anus.
Malgré sa bonne volonté, Gilles se crispa et du coup resserra ses fronces anales.
Jacques lâcha les reins, claqua deux fois chaque fesse :

- Décontracte-toi, serrer ne te sert à rien !  

Gilles capitula et le plug, tout en écartant largement le trou du cul, se força un passage dans le puits des reins. Il mordit le pouf tout en crispant ses doigts sur le cuir.
Le gland  s’installa et les chairs se refermèrent derrière comme pour l’emprisonner complètement.
Jacques offrit un répit à son esclave, caressa le cul torturé, puis commenta tout en agitant doucement le gland en tous sens :

- Tu le sens bien, non ? Il prend ta mesure… Maintenant, je continue…

La main revint sur les reins alors que l’autre reprenait la lente poussée.
Gilles gémit :

- J’ai mal, Maître ! C’est trop gros ! Arrêtez, s’il vous plaît, ça n’ira pas plus loin !

Sans cesser d’appuyer sur la plaque terminale, le Maître  rétorqua :

- Sois patient, c’est bientôt fini. Prend ton mal en patience !

Effectivement, il parvint jusqu’au sommet du cône terminal, marqua un nouveau temps d’arrêt pour laisser Gilles respirer, revint un peu en arrière, appuya sur les reins pour occuper sa victime et força d’un mouvement sec qui fit pénétrer le cône d’un seul coup et le trou du cul se referma sur le goulot terminal, emprisonnant le plug.
Gilles poussa un cri, se tordit malgré la main qui le clouait sur le pouf.
Jacques claqua le cul, dit :

- Relève toi, marche un peu pour t’habituer à sa présence, puis je te donnerai une culotte de cuir à la place de ton string, ensuite on sort.

Gilles, en ahanant, se mit sur pied, resta un peu penché vers l’avant gêné par le plug qui l’emplissait, puis se mit en mouvement. D’abord à petits pas malaisés, puis réussit à avancer.
Jacques lui fit faire trois fois le tour de la pièce, claquant le cul en marchant derrière lui, le laissa pour attraper dans un tiroir le short de cuir noir.
Gilles l’enfila avec difficulté, car il collait littéralement à sa peau.
Son Maître se rapprocha de lui, commanda :

- Ecarte tes jambes, je vais t’aider : il faut bien le faire pénétrer entre tes fesses, ainsi il va bien maintenir le plug en place.

Il tira la ceinture vers le haut, avec ses doigts, fit pénétrer le cuir dans la raie, séparant les deux globes ronds, puis se recula.

- Parfait. A la pause repas, je te refesserai sur le cuir afin que tes fesses conservent bien une chaleur permanente.

Effectivement en achevant de se vêtir, Gilles percevait une chaleur qu’il n’avait pas ressentie après la fessée.
Les deux garçons sortirent du musée du Louvre où Jacques avait servi de guide à son jeune esclave. Il lui désigna la sanisette Decaux, grande parce que prévue pour handicapé, où ils pénétrèrent. Contrairement aux autres, on pouvait y rester vingt minutes.

- Baisse pantalon et culotte puis prend appui sur la paroi, cambre-toi cul bien offert !

Gilles obtempéra.
Jacques mit sa main sur la plaque terminale du plug, agita l’ensemble ce qui fit gémir Gilles, lui commanda de remettre le short de cuir qu’il fit coller entre les deux globes jumeaux. Ensuite il posa son pied sur la cuvette des W. C., tira son esclave par un bras afin qu’il se retrouve ceinturé et pressé contre le cuir du pantalon.   
La première claque percuta la fesse droite de Gilles, aussitôt suivie d’autres, appliquées pleine main sur toute la surface du globe.
Jacques fessait tranquillement, sans se hâter, avec force.
Gilles cria très vite, car outre que la douleur semblait décuplée, elle procurait une chaleur persistante ce qui était pire que la première fessée reçue le matin.

- Oh ! Nooooooon, Maître ! Ca fait trop mal ! Pas de fessée s’il vous plaît ! Pitiiiiiiié ! Plus ça !

Gêné par son pantalon baissé, il ne pouvait agiter ses jambes pour tenter vainement de se soulager des puissants impacts.
Jacques rétorqua  :

- Gueule plus fort si tu veux, à la sortie tu auras des amateurs attirés par tes cris.
De plus, sous les claques, Gilles sentait le plug comme pris d’une vie autonome et qui remuait en lui.  
Son Maître passa au globe gauche, toujours infatigable.
Gilles s’agitait toujours autant, criait moins fort :

- Pitiiiiiiié, Maître ! J’ai trop mal ! Ne me fessez plus ! Ca me chauffe trop… C’est horrible ! S’il vous plaît plus la fessée !

- Je cesserai quand je le voudrai. Donc supporte cette seconde fessée, tu vas t’y habituer ! Il y en aura d’autres.C’est pour moi un véritable régal de claquer ton très beau cul rond. Ca lui manquait aussi vais-je combler cette lacune.

Puis, comme le matin, il acheva la terrible correction en frappant juste à la base du cul à la jonction fesses cuisses avec un mouvement ascendant.
Puis Jacques arrêta la fessée, passa une main caressante et douce sur la surface du cul qu’il venait de fesser, commenta :

- Je sens que ça te chauffe parfaitement. C’est pour ça que tu porteras toujours cette culotte de cuir quand nous sortirons. Et à chaque fois je te fesserai avant de quitter l’appartement, puis plusieurs fois quand on sera dehors afin que ton cul soit toujours bien chaud.
Il relâcha Gilles qui immédiatement porta les mains à son derrière culotté de cuir pour tenter d’en calmer l’ardente et douloureuse cuisson.

- Rhabille-toi, on sort !

- J’ai mal, Maître, je ne vais pas pouvoir m’asseoir pour déjeuner.

- Pas grave ! Tu mangeras debout, mais dans ce cas il te faudra expliquer au serveur pourquoi tu ne peux pas t’asseoir. Sur que ça lui fera plaisir de savoir que je te fesse comme un gamin.
Gilles baissa la tête, suivit Jacques dehors.
Personne n’attendait à l’extérieur.
Bien entendu au restaurant où son Maître le conduisit, Gilles s’assit en grimaçant car il avait très chaud au cul.

Pendant le repas, il devisa avec Jacques, et quelquefois il s’agita un peu trop sur sa chaise, et, un sourire aux lèvres, son Maître s’enquit :

- Quelque chose te gêne sur ton siège ?

Gilles rougit, honteux, souffla à voix basse :

- Vous le savez bien.

Lors de conversations en public, il était dispensé bien sûr de dire : « Maître ! ».

- Précise quand même.

La table voisine étant vide, le serveur hors de portée d’oreille, Gilles lâcha toujours à voix basse :

- J’ai très chaud à mes fesses et le plug se fait un peu trop sentir.

- Bien, c’est ce qu’il te faut. Comme ça tu penses à moi en permanence.

A dix neuf heures, ils rentraient à l’appartement. Gilles avait été fessé une nouvelle fois dans l’après midi. Jacques déclara :

- Tu te fous à poil afin que j’enlève le plug, puis je verrai si je te fesse avant ou après dîner.

Gilles n’omit pas :

- Bien, Maître !

Jacques se remit torse nu, ganta ses mains de latex.
Quand son esclave se fut déshabillé, il s’approcha, lui fit écarter les cuisses, agrippa la rondelle terminale, agita le plug en tous sens, tira sans se soucier du garçon qui, comme cela avait adhérer à sa chair, avait l’impression qu’on lui arrachait la peau.
Le plug fumant fut posé sur la table, puis Jacques se déganta, ordonna :

- Va prendre une douche, je t’accompagne.

- Oui, Maître !

Gilles se lava sous l’œil serein de son mentor, profita du jet d’eau tiède pour se décontracter, sortit, accueilli par Jacques qui l’essuya sauf son cul.
Avant qu’il ne comprenne, il se retrouvait ceinturé d’un bras, alors que Jacques expliquait :

- Je vais te fesser pour essuyer ton cul.

Tout de suite la première claque s’abattait.
Ca produisit un bruit claquant et humide qui fit frissonner Gilles, car une fessée donnée sur un cul mouillé augmente la douleur.
A la cinquième claque, il criait :

- Non, Maître ! Pas ça, j’ai trop maaaaaaal ! C’est horrible ! Après, quand je serai sec si vous voulez ! Aaaaaaaye ! Nooooooon !

Impacible, tout à son affaire, Jacques claquait le derrière humide à larges claques données pleine main.
Sous la puissance des impacts, la fesse droite fut très vite rouge, chaude, sèche. Ce fut aussitôt le tour de la gauche.
Gilles, tout en criant, se mit à pédaler dans le vide, un pied après l’autre quasi alternativement voire ensemble, continua à crier :

- Ca y est, Maître, c’est sec ! Pitié, ne me fessez pluuuuuuus ! Je vous en prie ! Aaaaaaaye ! Asssssssez ! Nooooooon !

- Tu vois, c’est plus efficace que la serviette pour sécher ton beau cul rond. De plus il va être bien rouge comme j’aime que des fesses soient. Encore humide là… Voilà… A la base et après ce sera fini…

Tout de suite, Jacques claqua la jonction cuisses fesses en remontant afin de finir la fessée en beauté.
Puis sa main se fit caressante, passant doucement sur les deux globes secs, bien rouges et bien chauds.
Sans permettre à Gilles de quitter la position fessée, il attrapa un gant de latex, en couvrit sa main droite, humecta son majeur de salive, le posa sur l’orifice anal puis l’y enfonça doucement, introduisit le doigt jusqu’à la paume, constata alors que malgré lui le jeune homme doigté serrait les fronces :

- Ca entre parfaitement après le port du plug… On va dîner et après je t’enculerai. Allez, relève toi !

Il laissa le majeur implanté dans le cul, Gilles prit appui sur ses cuisses pour se mettre debout ; les deux hommes collés l’un à l’autre prirent la direction de la cuisine où Jacques commanda :

- Met la table, j’ôterai mon majeur après.

Gilles soupira, disposa assiettes et couverts avec son Maître collé à lui. Quand il eut terminé, Jacques retira rapidement son majeur du cul, ôta le gant de latex, prit place à la table et laissa son esclave assurer le service, se considérant presque comme un pacha, le ventre en moins.

Après avoir regardé la T. V., il était presque vingt trois heures, quand Jacques invita son esclave dans sa chambre.
Gilles le vit prendre des préservatifs, du gel, une cravache dont la particularité était un manche court mais avec une languette de cuir noir longue de quinze bons centimètres et surtout plus épaisse que la normale. Il se garda de poser la moindre question.
Il remarqua que le lit était carré, deux mètres sur deux ; le plus surprenant étaient les draps en cuir noir, comme les taies d’oreillers.
Jacques déposa son matériel sur la table près du lit, garda juste la cravache en main, ganta sa main droite de latex, ouvrit le tube de gel, tout en mettant une bonne couche de gel sur son majeur, commanda :

- A plat ventre sur le lit, cuisses écartées que je te mette du gel.

Il oignit soigneusement le trou du cul de gel, en ajouta dans l’intestin, se déganta et ordonna :

- Remet toi debout et fais toi bander.

Une fois sur pieds, Gilles commença à se branler.
Au bout de trois minutes, il n’y avait pratiquement pas de résultat.
Jacques dit :

- Met tes mains dans le dos !

Il s’empara de la bite, la décalotta de la main gauche et, d’un petit geste de la droite, cravacha le gland bien offert sans défense. La longue languette de cuir claqua sèchement.
Gilles poussa un cri bref, voulut porter ses mains en protection, mais son Maître lui dénia ce droit :

- Garde les mains dans ton dos !

- Je vais essayer de bander, Maître, attendez ! Laissez moi ressayer !

- Ma méthode est meilleure !

Il leva la petite cravache et la languette de cuir percuta le gland déjà un peu plus gonflé.
Gilles cria, remua pour échapper à la main tenant solidement sa bite qui, après le troisième coup de cravache, se mettait à bander.

- Regarde, tu vas vite bander !

Le garçon cria encore cinq fois, mais il bandait parfaitement.
Jacques le lâcha, reposa sa cravache sur la table, commanda :

- A genoux sur le lit, cul ouvert, bien cambré. Met cette serviette sous toi !

Pendant que Gilles se mettait en position, il ouvrait sa braguette, sortait son sexe en totale érection, le gainait habilement d’un préservatif de cuir noir, y étalait une bonne couche de gel, s’agenouillait entre les jambes de Gilles, posait ses mains sur les deux fesses qu’il ouvrait, positionnait son gland sur l’anneau rectal peureusement tapi au fond de la sombre vallée.
Assurant sa prise en tenant bien les deux fesses, Jacques poussa, sentit une légère résistance, força un peu plus…Son gland commença à pénétrer dans l’antre convoitée alors que Gilles, cramponné de ses deux mains à l’oreiller, ouvrait la bouche comme s’il manquait d’air, puis poussait un cri bref alors que le gland poursuivait son avancée en lui, lâchait :

- Doucement, Maître, s’il vous plaît ! Vous êtes trop gros ! Aaaaaaaye ! Ca m’écarte trop ! Nooooooon !

Jacques avait lâché la fesse droite, la claquait par deux fois, disait :

- Détend toi ! Ne serre pas tu auras plus mal !

Quand son gros gland ovoïde fut totalement dans le conduit anal qui se resserrait sur la longue colonne enveloppée de cuir, il marqua un temps d’arrêt afin que son esclave et lui soufflent. Pour cette première prise de contact, il ne voulait pas être violent, juste affermir sa position de dominateur, de Maître absolu.
S’agrippant de nouveau aux fesses, Jacques reprit sa progression vers l’avant, bien aidé par le glissement du gel.
Gilles lâcha l’oreiller qu’il mordait, cria :

- Aaaaaaaye ! Nooooooon ! Pas plus loin, Maître ! S’il vous plaît !

Jacques, imperturbable, continua son avancée, sans même se soucier des cris de protestation de son esclave.
Deux minutes plus tard, toute sa bite, soit vingt deux centimètres de chair, était comprimée dans le canal qui l’enserrait comme une seconde peau.
Il relâcha les deux fesses, les claqua chacune deux fois, dit :

- Ca y est ! Tu l’as en entier dans ton beau cul !

Gilles respira normalement, se détendit, gémit :

- Oui, Maître, mais j’ai mal ! Je la sens, elle me remplit complètement ! 

- Tu as mal par manque d’habitude. Maintenant, je vais t’aider à jouir, ça n’en sera que mieux.

Jacques passa sa main sous le ventre, prit la bite bandante de Gilles en main et commença à le branler doucement en se mettant à reculer :

- Nooooooon ! Ne bougez pas, Maître !

L’esclave avait l’impression, malgré le gel, que sa peau restait collée au préservatif de cuir.
Parvenu à s’extraire, Jacques laissa juste son gland dans le sphincter, avança un peu plus vite, avant d’amorcer des allers et retours à une vitesse plus accélérée, tout en branlant  son esclave plus rapidement.
Il était tellement enserré de toute part qu’il fut presque surpris par la montée de la jouissance alors que Gilles, lui aussi, éjaculait un peu avant lui, inondant la serviette de sperme.
Quand sa bite fut un peu débandée, Jacques sortit du cul, ôta son préservatif, claqua le cul de Gilles allongé inerte sur le lit :

- Allons prendre une douche, après je te mettrai un gode et la culotte de cuir afin que ton anneau ne se resserre pas de trop ; une fessée et on pourra dormir.

Malgré sa répulsion d’un tel programme, l’esclave se garda de tout commentaire, au contraire :

- Bien, Maître !

Une fois dans la salle de bains, Gilles constata que le bac à douche était assez grand pour deux, y rejoignit son Maître qui entreprit de le laver sous toutes les coutures dès que lui fut lavé.
Quand ils furent propres, Jacques le sécha avec une grande serviette, fit de même pour lui et ils retournèrent dans la chambre.

- Attend moi…    

Peu après, il revenait portant un gode, le gel et la culotte de cuir.
Gilles, à la vue du gode destiné à son cul, frémit, demanda :

- Il est très gros, ne pourra pas rentrer en moi sans mal.

Jacques éclata de rire :

- Il mesure vingt cinq centimètres, trois de plus que ma bite. Le gland est un peu plus gros afin que ton cul s’élargisse.

Tout en expliquant, il avait recouvert le plastique incompressible d’un préservatif de cuir noir qui adhérait à l’ensemble, se gantait de latex, le graissait abondamment et ordonnait :

- A quatre pattes sur le lit.

Gilles adopta la position, s’agrippa à l’oreiller alors que son Maître apposait une bonne couche gel sur son orifice anal et un peu à l’intérieur, ôtai son gant, ouvrait les fesses de sa main gauche et abouchait le gros gland, semblable à un œuf de cane, sur l’anus.
Jacques poussa doucement, força un peu devant la petite résistance opposée ; grassement le gode pénétra en Gilles qui se crispa sur l’oreiller en gémissant :

- Ouaaaaaaah ! C’est énorme, Maître ! Vous m’éventrez ! Doucement, s’il vous plaît !

- Ca entre, tu vas voir ! Décrispe-toi, ça ne te fera pas mal, juste une gêne !

Quand tout le gland fut prisonnier de la rosace anale, Jacques marqua un temps d’arrêt, caressa le cul à la peau hérissée, puis reprit la poussée.
Gilles sentait le gros gland qui s’avançait en lui, voulait résister mais le gel abondant lui déniait cette solution.
Il avait l’impression qu’un cône énorme le pénétrait, distendait ses chairs d’une façon imparable.
Cinq minutes plus tard son cul était totalement embroché par le gode dont la rondelle terminale se retrouvait collée au trou du cul.
Jacques souffla, lui dit :

- Allonge-toi !

Gilles, en prenant la position, garda les cuisses un peu écartées, mais Jacques le força à les serrer :

- Reste les jambes comme ça, le gode va prendre sa position…

Il entreprit de caresser son esclave qui du même coup se détendit, appréciant le parcours des deux mains sur son corps nu.
Un peu plus tard, Jacques claqua par deux fois le cul offert dans toute sa plénitude, dit :

- Debout, faut mettre la culotte de cuir ! Va pisser avant si besoin.

Il aida Gilles à se remettre sur pied, s’isoler puis, à son retour, lui laissa enfiler la culotte moulante, se contentant d’ajuster parfaitement le cuir entre les deux fesses afin que la couture adhère à la pastille du gode afin qu’il reste parfaitement enfoncé dans le cul sans possibilité de ressortir même un peu. Du coup les deux globes étaient parfaitement dessinés.
Jacques proposa :

- Avant que je te donne ta dernière fessée du jour, on peut aller boire un verre si tu as envie.

Gilles accepta, toujours surpris par ce témoignage tantôt d’affection, tantôt de rigueur. Il savait que malgré tout, quand viendrait l’heure d’être fessé, son Maître ne lui épargnerait pas le châtiment et ferait preuve de la même extrême  sévérité.   
La pause dura une vingtaine de minutes.
Dès qu’ils furent de nouveau dans la chambre, Jacques s’assit au bord du lit, désigna ses cuisses toujours recouvertes du pantalon de cuir, fit :

- En position pour ta fessée !

Gilles baissa les yeux, s’allongea sur les cuisses, laissa son Maître le disposer comme il le voulait, s’agrippa aux jambes de cuir de ses mains.

Un court instant, il avait eu envie de protester, mais il s’était retenu sachant que jamais son Maître ne lui aurait épargné cette ultime fessée de la journée.
Alors que Jacques le ceinturait fermement puis abattait fortement sa main sur la fesse droite recouverte par la culotte de cuir, provoquant, outre la douleur de l’impact, un bruit sec qui emplit la chambre, il dit comme s’il avait lu dans l’esprit de son esclave :

- Comme ça tu auras le cul bien chaud toute la nuit et n’en apprécieras que mieux la fessée du réveil. 

La main claquait anarchiquement le globe droit ou gauche, sans aucune pose, et très vite, sous la puissance des claques décernées à son cul recouvert par la culotte de cuir ajoutées au gode qui remuait en lui, Gilles cria :

- Ca fait maaaaaaal, Maître ! Aaaaaaaye ! Nooooooon !

- Je sais… Inutile de crier… Je sais que tu n’aimes pas quand je fesse ton très beau petit cul culotté de cuir… Mais il le faut… Sache que je n’aime rien de plus que de le fesser à la main ton cul… Supporte…

Mais Gilles, tout à son infernale douleur de gamin fessé, remuait en tous sens, pédalait dans le vide pour tenter d’échapper à l’avalanche de claques dispensées par cette terrible main masculine qui ne lui faisait grâce de rien, criait :

- Ca suffit, Maître ! Pluuuuuuus la fessée ! Plus sur mon derrière ! J’ai trop maaaaaaal ! Ca me chauffe trop ! S’il vous plaît ! Pitiiiiiiié ! Je vous en supplie ! C’est horrible !

Jacques le tenait parfaitement à sa disposition ou plutôt à celle de sa main qui ne chauffait même pas, ou du moins n’en sentait-il même pas la chaleur. Il n’aimait rien de plus que de claquer un cul de garçon, surtout celui-ci bien rond. Il ne se fatiguait pas, levait sa main droite et la rabattait violemment sur le derrière offert dans toute son entière plénitude.
Parfois, lorsque les cuisses en pédalant s’écartaient, il frappait entre les fesses sur la rondelle terminale du gode ce qui provoquait en Gilles une vibration démente qui agitait tout le pénis implanté solidement dans son cul, lui donnait l’hideuse impression qu’un vrai sexe remuait en lui ; du coup malgré la douleur de la terrible fessée, il bandait.

Alors, la culotte de cuir l’enserrait tellement qu’il avait l’impression qu’elle pénétrait dans sa peau comme pour s’y fondre.
Après une douzaine de claques données à la lisière fesses cuisses, l’infernale fessée s’arrêta.
Les cris diminuèrent très vite, alors que les larmes continuaient à couler ; Gilles vit la main chaude qui venait de claquer son cul venir près de sa bouche, Jacques disait :

- Embrasse la main qui vient de te fesser comme il faut. Ce sera ta façon de la remercier.

Le garçon eut un court instant d’hésitation qui n’échappa nullement à son fesseur :

- Tu désires peut-être qu’elle te reclaque un peu le cul avant de…

Gilles libéra ses mains des jambes de cuir, agrippa la main et y posa ses lèvres avant de dire :

- Non ! Non ! Maître ! Je ne l’avais pas vue !

- Je préfère. Tu peux te relever !

Quand Gilles fut debout face à lui, Jacques prit son visage entre ses mains, posa sa bouche sur celle de Gilles et lui roula une pelle… Ardente.
Puis, caressant le cul bouillant à travers la culotte de cuir, il dit :

- Va te passer un peu d’eau sur le visage et reviens te coucher ici.

- Oui, Maître.

Dix minutes plus tard, allongés cote à cote, les deux hommes dormaient.

Le lendemain matin, Gilles fut réveillé par son Maître à neuf heures qui prit avec lui au lit le petit déjeuner qu’il avait préparé.
Ensuite, Jacques détailla le programme de la journée, termina par :

- Je vais t’enlever ton gode, puis tu iras te doucher, faire tes ablutions, après tu recevras ta première fessée du jour. Normalement, je te réveille par cette fessée, mais j’avais décidé de changer aujourd’hui. J’espère que tu ne le regrettes pas.

- Oh non, Maître !

Pour lui prouver sa reconnaissance, il se jeta à son cou, lui roula une pelle et s’échappa vers la salle de bain, demanda :

- Je remets ou non la culotte de cuir ?

Jacques s’accorda un temps de réflexion, décida :

- Je te fesserai cul nu, tu la mettras après.

- Bien, Maître.

Il suivit Gilles qui était déjà en train d’enlever sa culotte de cuir puis se regardait dans la glace : ne subsistaient que quelques marques de fessée. Il enfila deux gants de latex puis comme le garçon restait immobile, dit :

- Prend appui sur le lavabo, cambre-toi en écartant les cuisses.

Quand Gilles fut en position, il passa la main droite entre les fesses ouvertes, mit ses doigts sur la rondelle terminale, agita le gode en tous sens et tira. Le garçon cria :

- C’est collé, Maître ! Ca ne viendra pas !

- Mais si, tu vas voir !

Il agita plus fortement le gode, faisant crier Gilles mais réussit à l’extraire en tirant à nouveau. Il ôta le préservatif de cuir qui dégageait une forte odeur, le jeta dans la poubelle, trempa index et majeur dans un pot qu’il venait d’ouvrir.

- Ne bouge pas, ça va t’aider à faire tes besoins.

Jacques enfonça résolument les deux doigts dans l’orifice encore ouvert, faisant quand même pousser un petit cri à son esclave, les fit naviguer ensemble, puis les retira accompagné par un chuintement visqueux.

- Commence à te laver, ça faire vite effet.

Il resta un peu en retrait afin d’empêcher le cas échéant Gilles d’aller se soulager trop vite.
Ce dernier sentit l’envie de déféquer monter en lui, continua à se débarbouiller sans rien faire que de piétiner sur place. N’y tenant plus, il dit :

- Ca vient, Maître, je dois aller faire.

- Patiente encore un peu.

Pour éviter que le garçon se précipite, il trempa son pouce dans le petit pot et l’enfonça d’un jet dans le cul.
Gilles cria :

- Non ! Non ! Je ne vais plus pouvoir me retenir.

Collé contre lui, Jacques sourit :

- Mais non, tant que tu as mon doigt dans le cul tu ne risques rien.

- Enlevez votre doigt, Maître !…Ca va sortir ! S’il vous plaît !

- Avance vers la cuvette, je te l’ôterai.

Gilles, à petits pas, gêné par le pouce qui obturait son trou du cul et par son envie de déféquer, se rapprocha du lieu d’aisance.
Jacques agita un peu son doigt puis le sortit accompagné par un chuintement obscène.
Libéré, le jeune homme s’assit et se soulagea alors que son Maître se dégantait, ordonnait :
- Tu me rejoindras dans la chambre dès que tu seras vidé et propre.

Un quart d’heure plus tard, Gilles réapparaissait, soulagé enfin pas tout à fait puisqu’il lui fallait subir sa première fessée du jour.
Jacques lisait un livre qu’il ferma à l’entrée de son esclave, basculait ses jambes gainées du pantalon de cuir au bord du lit, les désignait :

- En position fessée !

Gilles, tout en s’y allongeant à plat ventre, nota la présence sur la table de nuit d’un plug imposant et de la culotte de cuir.
Jacques coinça la bite entre ses cuisses, ceintura le garçon de son bras gauche, et, sans perdre de temps, alloua au beau cul rond offert dans toute sa plénitude, la première claque, suivie aussitôt par d’autres, sur un rythme rapide. La grande main fine aux longs doigts frappait la chair nue avec force, laissant à chaque impact une marque de cinq doigts bien visible.
Cette fois il alternait une claque à droite, une à gauche, mais presque toujours au même point d’impact, pendant quinze fois de suite.
Après il décalait sa main de façon à frapper méthodiquement toute la surface du cul rond afin qu’il soit uniformément rouge.
Très vite, Gilles commença à remuer sur les jambes de son fesseur qui le tenait solidement.
Puis les jambes commencèrent à pédaler dans le vide alors que le garçon se mettait à crier :

- Nooooooon, Maître ! Ca fait maaaaaaal ! Moins fort s’il vous plaît ! Aaaaaaaye ! Plus de fessée !

Ne pouvant ramener ses bras vers l’arrière pour tenter de protéger son derrière en discipline, il s’agrippait à l’oreiller de cuir qu’il griffait, mordait dans la vaine tentative d’exorciser la douleur de cette fessée masculine.
Impavide, tout à son plaisir, Jacques abattait toujours sa main droite sur la croupe de plus en plus rouge, visait des points qui restaient sinon blancs, du moins rosés voire pas assez rouge.
Gilles se mit à pleurer tellement il souffrait le martyr avec cette main qui le claquait sans relâche.
Pour achever la fessée en beauté, Jacques visa la jonction cuisses fesses toujours avec un léger mouvement ascendant.

Puis il arrêta la correction, dit :

- Ce soir je te ferai goûter au paddle.

Gilles glapit :

- Non !... Non !... Maître !... On m’a dit que c’était pire que la fessée !

Jacques lâcha le garçon, lui ordonna :

- A plat ventre sur le lit, cuisses largement ouvertes. Quant au paddle, une correction vaut trois fessées. Tu apprécieras !

Gilles ne répliqua rien, prit la position ordonnée alors que son Maître, ganté de latex, déposait du gel sur son trou du cul, attrapait le plug, tenait de sa main gauche les fesses disjointes, posait le gland conique sur l’anus et poussait.
Ca pénétra doucement, s’enfonça sans mal vu la finesse du gland alors que le cône allait en s’élargissant jusqu’à la base terminée par un resserrement afin que l’anus se referme sur le plug et le maintienne à l’intérieur.
Quand tout le plug fut entré, après quelques cris de Gilles sanctionnés par quelques claques, Jacques relâcha son esclave, commanda :

- Met ta culotte de cuir !

Gilles quitta la position couchée, se mit debout avec difficulté, enfila la culotte de cuir puis Jacques tira l’élastique ceinture vers le haut afin de bien faire pénétrer la couture entre les deux globes du cul, posa sa main dessus pour en évaluer la chaleur, car il avait fessé énergiquement son esclave afin de bien lui chauffer le derrière et qu’il le reste. Jugeant que ça risquait de ne pas rester assez chaud, il décida :

- Va te laver la figure et reviens ici avant de t’habiller

Suite,