L'histoire de Gilles
|
Partie 2 - L’éducation de Gilles - Visite en profondeur |
Ils dînèrent vers vingt heures, puis la vaisselle disposée dans le lave vaisselle, ils passèrent dans la salle des punitions. Comme seul vêtement, Gilles portait sa culotte de cuir que Jacques lui ordonna d’enlever. - Met toi dessous ! Jacques lui enserra les poignets dans les anneaux, alla régler la chaîne afin qu’il eut les bras tendus mais pas étirés ; les pieds reposaient complètement sur le sol. - Non, Maître, pas le paddle ce soir… J’ai peur… S’il vous plaît… - Il faut varier les plaisirs. Jacques se posta sur le flanc droit de Gilles qui, par le truchement des miroirs, le vit lever le bras, et après un mouvement sec, le paddle percutait la double rotondité du joli cul nu. Il sentit une vague de souffrance parcourir son corps tétanisé des doigts de pieds jusqu’aux cheveux avant de refluer lentement pour se concentrer dans ses deux fesses marquées d’une balafre rouge à l’endroit où le cuir avait percuté la peau tendre et délicate. Sssplaaaafff ! Le beau cul nu et rond sembla bondir sous le choc mais Gilles garda les dents serrées. Sssplaaaafff ! En plein sur la courbure supérieure des fesses qui s’écrasèrent sous la force du coup. Cette fois une sorte de jappement de souffrance s’échappa de la bouche fermée. Sssplaaaafff ! Le paddle percuta le haut de la cuisse gauche à l’endroit de sa jonction avec l’arrondi de la fesse, là où la peau est la plus sensible la plus tendre. Sssplaaaafff ! Au même endroit mais sur la cuisse droite cette fois. Sssplaaaafff ! Lancée un peu de biais et de bas en haut, le cuir frappa le vallonnement inférieur du joli cul rond et sembla littéralement soulever les deux fesses. Sssplaaaafff ! Le bandeau de cuir s’écrasa en diagonale en plein travers des deux globes. Une espèce de crissement aigu fusa entre les lèvres retroussées du garçon en pénitence. Sssplaaaafff ! Cette fois le paddle percuta le haut du derrière qui était déjà d’une chaude nuance coquelicot. Sssplaaaafff ! Un peu plus bas en plein cul cette fois encore. Un miaulement aigu exprima la détresse du garçon qui maintenant agitait ses jambes en tous sens mais ne pouvait se pendre par les poignets. - Aaaaaaaye ! Nooooooon, Maître ! Pluuuuuuus ! C’est horrible ! Pitié ! Ca fait trop maaaaaaal ! Gilles venait de craquer : visage convulsé, mains et pieds crispés de douleur, des larmes perlaient à ses jolis yeux. - Aaarrrggghhh !!! Ouaaahhh !!! Aaasssez !!! Nooon !!! Nooon !!! Maître ! Plus le paddle ! J’ai…Trop…Mal… Pitié ! Sssplaaaafff ! Le joli cul rond bondissant de souffrance sembla s’ouvrir en deux sous l’affreux claquement du cuir qui venait de le percuter une nouvelle fois. Les fesses s’écartèrent et Jacques put voir l’anus palpitant de douleur s’ouvrir et se fermer comme une petite bouche rendue muette par la torture. Sssplaaaafff ! Lancée de bas en haut l’épaisse lanière noire percuta l’arrondi de la croupe et souleva brutalement les deux joues brûlantes et cramoisies. - Nooon ! Arrêtezzz !!! Assez !!!Assez !!! Plus ça, Maître !!! Sssplaaaafff ! Trois fois la courroie de cuir du paddle s’écrasa en plein cul et trois fois à la même place causant une horrible brûlure à la tendre carnation du cul masculin et arrachant des plaintes stridentes à Gilles qui piétinait sur place. Gilles avala le remontant presque d’une seule lampée alors que Jacques, assis face à lui, sirotait tranquillement son verre, lâcha : - Comme tu viens de le constater le paddle est assez douloureux. Tu en garderas les marques jusqu’à demain matin. Pour parachever cette seconde journée ensemble, je vais t’enculer, mais cette fois avec le gel fait spécialement pour moi. Par contre je ne te fesserai pas avant de dormir, le paddle suffit. - Merci, Maître ! Ils devisèrent encore une quinzaine de minutes, puis Jacques commanda : - Va dans la chambre, à quatre pattes sur le lit, cul ouvert. Je t’y rejoins. - Bien, Maître ! Après avoir nettoyé les verres, Jacques entra dans la chambre, sourit en voyant son esclave déjà bien en position avec son très beau cul encore bien rouge après la correction au paddle, prit dans un tiroir de la commode un préservatif de cuir noir et un petit pot rouge portant juste l’inscription : « Gel P. » Ecartant les fesses de se mains, Jacques aboucha sa bite sur l’anneau rectal alors -Ca me pique, Maître ! Qu’est-ce que c’est ? Alors qu’il commençait à pousser sur sa grosse bite épaisse, Jacques répondit : -Un gel à base de piment de Cayenne et de baume du tigre. Comme ça tu auras une double sensation : pénétration et échauffement. Il poursuivit son avancée douloureuse. -Aaaaaaayyyyye ! Ca me piiiiiiique ! Sortez, Maître ! Ca m’écarte trop ! Pluuuuuuus ! Malgré lui, il serra les fronces pour ralentir l’odieuse et douloureuse pénétration rectale. Jacques lui décerna deux claques sur chaque fesse, tonna : - Détend toi, ça va te procurer de nouvelles sensations ! Mains bien ancrées dans le cul rouge, Jacques continua son avancée afin que son gros gland soit emprisonné dans l’anus dont les fronces se serrèrent après son passage, puis s’accorda un répit. - Asssssssez ! Ca me piiiiiiique trop ! Pluuuuuuus ! Maître, s’il vous plaît ! Jacques donna un coup de reins afin que sa bite s’enfonçât plus en avant, progressa douloureusement dans le conduit encore non habitué à un aussi imposant visiteur. - Ca suffit, Maître ! Pas plus loin ! Ca me brûle ! S’il vous plaît, Maître ! Sortez de mon derrière ! J’ai trop maaaaaaal ! Jacques acheva la pénétration et Gilles sentit le pantalon de cuir adhérer à ses fesses encore chaudes de la correction au paddle ; le Maître lâcha le cul et caressa le garçon embroché par vingt deux centimètres de chair raide. - Doucement, Maître ! Ca me fait maaaaaaal ! Nooooooon ! Pitiiiiiiié ! Insensible à la pitié réclamée par son esclave, Jacques poursuivait ses lents retraits et ses poussées rapides et sèches, enculant profondément Gilles qui avait, lui, l’hideuse impression que le gland allait lui ressortir par la bouche. La main de Maître prit possession de la bite de l’esclave qui bandait, contre toute attente, et le branla en cadence avec ses allers et retours profonds dans le cul maintenant bien ouvert. Les deux hommes restèrent quelques minutes ainsi, sans bouger, puis Jacques sortit sa bite du cul, s’allongea près de Gilles en l’enlaçant, présenta sa main encore couverte de sa semence à la bouche du garçon : - Lèche ton sperme ! Après un léger sursaut de recul, Gilles posa sa langue sur la paume, puis les doigts, les lécha soigneusement. - Ton sperme a bon goût ! Puis il claqua le cul, ajouta : - Allons-nous laver ! Ils prirent leur douche ensemble, s’embrassèrent, se caressèrent comme deux amants bien repus. Le lendemain matin, vers huit heures, Jacques expliqua le programme de la troisième journée à son esclave : - Après le petit déjeuner et ta douche, je te donnerai ta fessée matinale, te mettrai un plug afin de te préparer à être fisté ce soir… Comme Gilles allait protester, il lui fit signe d’écouter la suite : - Ce n’est pas moi qui procéderais, j’ai un apprenti qui a ton âge et qui est mon spécialiste. Avant je t’initierai au martinet. Gilles comprit qu’il n’avait rien à dire sauf : - Bien, Maître ! - Parfait, allons prendre le petit déjeuner puis tu pourras te laver, faire tes besoins, etc. - Avec plaisir, Maître. Gilles quitta le lit et suivit son Maître dans la cuisine après avoir fait une halte pour uriner. - Je suis à votre disposition pour ma fessée matinale, Maître. Sans un mot, Jacques plaça son marque page, posa le livre sur la table proche, attrapa son esclave par un bras, le fit basculer à plat ventre sur ses cuisses recouvertes par le pantalon de cuir noir, disposa la bite entre ses cuisses avant de les serrer, constata que plus une trace de la correction au paddle de la veille au soir ne marquait la chair blanche. De son bras gauche il ceintura le garçon afin qu’il soit parfaitement à sa disposition, puis de sa main droite commença à fesser le beau cul parfaitement offert au châtiment promis. - Aaaaaaayyyyye ! Ca fait maaaaaaal ! Pas comme ça, Maître ! S’il vous plaît ! Nooooooon ! Asssssssez ! Pluuuuuuus ! - Rien de tel qu’une bonne fessée matinale pour t’activer la circulation du sang. Ton cul est parfait pour recevoir une bonne fessée ! Tenant parfaitement Gilles à sa disposition, il claquait le derrière offert dans toute sa plénitude, se régalait du bruit des claques sur le cul nu, rougissant de plus en plus. Gilles pleurait, griffait les mollets de cuir, bavait alors que ses fesses recevaient une parfaite fessée manuelle. Il sentait qu’il bandait malgré l’affreuse douleur de son cul toujours claqué par l’implacable main masculine de son Maître. Soudain, au milieu du bruit des claques, il entendit quelqu’un entrer dans la pièce, releva la tête et, au travers de ses yeux mouillés par ses larmes, il vit un jeune garçon qui regardait la scène. - Bonjour, Alex. Tu arrives juste pour voir Gilles se faire fesser. Admire le beau cul que je claque. Aide-le à supporter cette fessée si tu veux. Le jeune homme brun s’agenouilla, prit le visage grimaçant de Gilles entre ses mains, dit : - Comme c’est beau de voir ton Maître te donner une bonne fessée. Sa main claque parfaitement ton très beau cul. Tu dois avoir mal, non ? Gilles se contorsionna pour essayer de protéger son derrière torturé par les claques avec ses mains, mais Alex les prit dans la sienne au passage, commenta en caressant le visage larmoyant : - Pas de ça ! Ce serait pire ! Supporte cette fessée ! Pour moi c’est un vrai régal de voir Jacques te fesser ! Gilles se remit à crier : - Nooooooon ! Maître ! Arrêtez ! C’est insupportable ! Vous me faîtes trop mal ! S’il vous plaît ! Alex colla sa bouche contre celle de Gilles, l’embrassa sans façon, puis se recula : - Tu as un cul fait pour la fessée, alors accepte-la. Ca va être bientôt fini, il va être rouge juste comme il faut. Cet après midi, avant le martinet, je te fesserai, tu verras, je suis moins bon que Jacques, mais tu aimeras. Effectivement, Maître Jacques cessa la fessée, laissa Gilles se relever le cul littéralement en feu, mais avant qu’il ne puisse calmer la douleur avec ses mains, les dextres fraîches d’Alex lui massèrent le derrière doucement, avec des caresses presque tendres. Puis il s’approcha de Jacques et ils se roulèrent une pelle. - Je suis entré avec ma clef comme tu me l’avais dit. On laisse Gilles se reposer, maintenant ? Pour toute réponse, Jacques s’adressa à Gilles : - Tu as bien fait toutes tes ablutions ce matin ? Tes besoins ? - Oui, Maître. Jacques dit à Alex : - Il faut lui mettre le plug n°4 afin de le préparer pour ton fist en fin d’après-midi. Va le chercher avec le gel. Alex acquiesça, laissa les deux hommes pour revenir deux minutes après. A la vue du plug, Gilles frémit : environ trente centimètres avec un gland semblable à un gros œuf de poule, suivi d’une longue colonne d’au moins sept centimètres de diamètre et la plaque terminale. Un véritable casse cul ! - Vous n’allez pas m’imposer ça, Maître ? Jacques et Alex rirent ; c’est ce dernier qui répondit : - Regarde mon avant bras il est même un peu plus épais. Ca va entrer sans problème, tu vas voir. (Il lui désigna l’espèce de table d’auscultation médicale). Met toi à plat ventre, cuisses bien écartées dans les rigoles. Pour lui faire accélérer le mouvement, il claqua par deux fois le cul proche à la volée. Le froid revêtement de cuir blanc lui apporta un opportun réconfort. - Je suis prêt, Maître. - Vas-y, ne fais pas attendre Gilles qui est si impatient. Alex poussa sur le plug posé à l’orée anale. Malgré lui, sous la poussée persistante, il serra les fronces pour freiner l’effraction. Alex, de sa main gauche gantée, claqua deux fois chaque fesse, provoquant un sursaut de Gilles, qui desserra ses fronces et, du coup, la progression du plug se poursuivit et le gland fut avalé. - Aaaaaaaye ! C’est trop grooooooos ! Maître ! Ca n’entrera pas plus loin ! Sortez-le, s’il vous plaît ! Jacques s’agenouilla pour regarder Gilles dans les yeux, dit : - Mais non, ne t’inquiète pas, ton beau cul va l’absorber en entier. - Nooooooon ! Maître ! Ca va m’estropier ! Dîtes lui d’arrêter, on essayera demain ! - Continue, Alex ! Le jeune garçon reprit la poussée centimètre par centimètre, sans heurt ni arrêt, lentement. - Ouaaaaaaah ! Ca m’éventre ! Maître ! Aaaaaaaye ! Nooooooon ! Alex maîtrisait parfaitement son sujet, poussait lentement, sans aucun à coup, regardait le plug disparaître progressivement dans le derrière rouge. - Ca y est presque, Gilles. Il ne reste plus que les dix derniers centimètres. Il tint les mains de l’esclave dans une seule des siennes et de l’autre caressa le visage couvert de sueur et larmes amères et douloureuses. De la tête, il fit un signe à Alex qui comprit aussitôt qu’il pouvait reprendre son travail. Sentant son anneau rectal s’écarter d’avantage, Gilles cria : - Ne forcez pas, Maître ! Ca va me blesser ! Aaaaaaaye ! Nooooooon ! Pluuuuuuus ! S’il vous plaît ! Alex ne tint aucun compte des plaintes de Gilles qui souffla lorsque son anus emprisonna le hiatus terminal. - Allez ! C’est fini ! Lève-toi ! Il tira le corps vers l’arrière en le faisant pivoter. - Avance ! Marche un peu que tu t’habitues au plug ! Qu’il se positionne comme il faut ! - Ne me fessez pas, Maître ! Je vais avancer ! Aaaaaaaye ! Mais Alex continuait de claquer les fesses afin que Gilles se tienne droit. - C’est bon, Jacques ! Ca tient parfaitement, et il ne pourra pas l’expulser, même en forçant. - On verra ça quand on rentrera des déjeuner et ballade. Habillons-nous pour sortir…
Vers seize heures, le trio réintégrait l’appartement. Gilles avait fini par s’habituer à la présence dans son cul de l’imposant et encombrant plug. Il savait que le plus dur restait à venir : le fist. - Va te mettre à poil. Alex va t’accompagner pour ôter ton plug, puis vous irez dans la salle des punitions où, en ma présence, tu seras flagellé au martinet, puis fisté. Gilles se déshabilla dans la chambre, puis rejoignit Alex qui l’attendait dans la salle de bain, déjà ganté de latex. - Prend appui sur le lavabo, écarte tes cuisses. A peine en position face au grand miroir, il reçut deux claques : - Mieux écartées les cuisses ! Alex mit la main sur la plaque terminale du plug, l’agita sèchement et commença à tirer. - Aaaaaaaye ! Doucement ! Doucement, Maître ! C’est collé à l’intérieur ! Ca me fait comme si vous m’arrachiez la peau ! Le jeune garçon marqua un temps d’arrêt une fois la partie conique sortie, agita de nouveau le plug et recommença à tirer. Alex se pencha vers l’anneau rectal en tenant les fesses écartées au plus large, sourit à la vue de l’orifice bien ouvert, claqua les fesses, dit : - Parfait ! As-tu envie de chier ? - Non, Maître ! Tout va bien ! - Allons dans la salle des punitions. Jacques y était déjà, assis dans un profond fauteuil de cuir rouge. - Attache-le à la croix ! Pas les jambes, surtout ! C’était une croix en forme de T avec aux extrémités latérales des deux branches un lien de cuir. - Il est traité spécialement afin que ta peau ne saigne pas… Il marqua un temps d’arrêt, ajouta : - Tu peux officier, Alex. Le jeune garçon prit position sur la droite de Gilles qui le vit lever le bras armé du martinet, le rabattre sèchement et les dix lanières percutèrent son cul offert dans sa totale plénitude. Gilles serra les dents pour ne pas régaler ses deux Maîtres en criant sa douleur. - Garde ton cul bien cambré ! Offre-le bien à mon martinet ! Tu vas bientôt le sentir parfaitement ! Après une dizaine de percussion des lanières de cuir, Gilles ne parvint plus à maîtriser l’intense douleur infligée à ses fesses nues, poussa des petits jappements, qui se transformèrent en cris de douleur et de détresse : - Aaaaaaaye ! Nooooooon ! Pluuuuuuus ! Maître ! Ca fait maaaaaaal ! Je connais maintenant ! Cessez ! Jacques, très attentif à la flagellation, rétorqua : - Non, ça ne pas cesser ! Le meilleur est à venir, tu vas voir ! Bien tenu par ses liens, Gilles commença à remuer les jambes dans la vaine tentative de soustraire son beau cul aux incessantes morsures des dix lanières de cuir. Mais rien n’y faisait ! Parfaitement manié par Alex, le martinet revenait toujours frapper sèchement les fesses de plus en plus rouges. Il visa d’une façon plus compact sous les fesses juste à la jonction cuisses-fesses, du bas vers le haut. Plus douloureuses, plus insidieuses, les lanières arrachèrent des cris plus aigus au pauvre Gilles : - Ouaaaaaaah ! Pas lààààààà ! Ca fait trop maaaaaaal ! Pitiiiiiiié ! Maître ! Je vous en priiiiiiie ! Alex, sans céder, recommença à flageller l’ensemble du cul qui s’agitait de plus en plus en tous sens. Puis, rapidement, Alex lâcha son martinet, vint contre Gilles, le ceintura en l’étreignant contre lui, pour le fesser à larges claques données pleine main afin d’achever la terrible correction. - Non ! Pas ça ! Plus de fessée ! C’est horrrrrrrrible ! Pitié, Maître ! Agitant ses jambes pour une vaine libération, il n’atteignit même pas son correcteur, qui cessa finalement la terrible correction. Alex détacha les poignets de Gilles qui porta aussitôt les mains à son cul bouillant pour tenter, en vain, d’en diminuer l’ardente cuisson. - Allons boire un remontant puis on passera à la suite du programme. Trente minutes plus tard, Gilles se retrouvait à plat dos sur la table d’auscultation mains liées, jambes écartées, larges ouvertes coté tête, bien tenues par Jacques debout derrière lui, pendant qu’Alex recouvrait main et avant bras d’un long gant de cuir noir très fin, luisant de gel sous l’éclairage. Ses anus et conduit rectal avaient préalablement été enduits eux-aussi de gel. Le jeune garçon s’agenouilla coté fesses, réunit ses doigts en faisceau conique et les posa sur l’orifice bien ouvert par la position. Après un regard vers Jacques qui hocha la tête, il commença à pousser pour faire pénétrer ce cône de chair et cuir dans le cul. Gilles, sentant le faisceau de doigts pénétrer en lui, se crispa, serra en vain ses fronces anales. - Aaaaaaaye ! Nooooooon ! Ca m’éventre ! Stop ! Aaaaaaarrêtez ! Ca n’entrera pas plus loin ! Alex, avant de reprendre le fist, dit : - Mais si, tu vas vite en avoir la preuve ! Et il recommença sa lente percée dans le conduit anale, centimètre après centimètre. - Nooooooon ! Pas si loin, Maître ! C’est trop gros ! Vous me dilatez trop ! Pourtant, Alex ne se laissait pas impressionner, poursuivait son avancée et finalement, sans à coup, son avant bras fut totalement dans l’intestin, jusqu’à l’orée du coude. Il accorda un temps de repos à Gilles, avant de refluer vers l’arrière, toujours lentement, jusqu’à laisser le poignet dans l’anus. - Ouaaaaaaah ! Ca fait maaaaaaal ! Maître ! Ne le sortez plus ! - Comme tu veux ! Nouvelle entrée complète. Sous l’intense pénétration et la main qui le branlait, Gilles ne tarda pas à jouir. - C’est horrible ! Alex en convint : - Certes, mais tu as joui intensément… A suivre ? |