L'histoire de Gilles

 

Partie 2 - L’éducation de Gilles - Visite en profondeur

Ils dînèrent vers vingt heures, puis la vaisselle disposée dans le lave vaisselle, ils passèrent dans la salle des punitions.

Comme seul vêtement, Gilles portait sa culotte de cuir que Jacques lui ordonna d’enlever.
N’ayant pas été fessé depuis le déjeuner, le beau cul rond était blanc.
Son Maître lui désigna les anneaux de cuir, garnis de velours à l’intérieur, qui prolongeait une chaîne descendant du plafond et, par une poulie, noués à un piton scellé dans le mur :

- Met toi dessous !

Jacques lui enserra les poignets dans les anneaux, alla régler la chaîne afin qu’il eut les bras tendus mais pas étirés ; les pieds reposaient complètement sur le sol.
Puis il alla vers le meuble, ouvrit le tiroir et en sortit le paddle promis : une poignée de bois marron et une partie de cuir noir, large et épaisse.
Gilles frémit, gémit :

- Non, Maître, pas le paddle ce soir… J’ai peur… S’il vous plaît…

- Il faut varier les plaisirs.

Jacques se posta sur le flanc droit de Gilles qui, par le truchement des miroirs, le vit lever le bras, et après un mouvement sec, le paddle percutait la double rotondité du joli cul nu.
Le cuir percuta les deux fesses avec le bruit percutant d’un coup de pistolet.
Gilles se convulsa sous l’affreuse brûlure.

Il sentit une vague de souffrance parcourir son corps tétanisé des doigts de pieds jusqu’aux cheveux avant de refluer lentement pour se concentrer dans ses deux fesses marquées d’une balafre rouge à l’endroit où le cuir avait percuté la peau tendre et délicate.
Entre ses dents serrés pour ne pas crier afin de ne pas donner à son Maître ce plaisir supplémentaire, Gilles laissa échapper un son sifflant qui traduisait la douleur cuisante causée par la lanière.
Jacques leva de nouveau le bras armé du paddle et abattit la courroie de cuir à toute volée.

Sssplaaaafff !

Le beau cul nu et rond sembla bondir sous le choc mais Gilles garda les dents serrées.

Sssplaaaafff !

En plein sur la courbure supérieure des fesses qui s’écrasèrent sous la force du coup. Cette fois une sorte de jappement de souffrance s’échappa de la bouche fermée.

Sssplaaaafff !

Le paddle percuta le haut de la cuisse gauche à l’endroit de sa jonction avec l’arrondi de la fesse, là où la peau est la plus sensible la plus tendre.

Sssplaaaafff !

Au même endroit mais sur la cuisse droite cette fois.

Sssplaaaafff !

Lancée un peu de biais et de bas en haut, le cuir frappa le vallonnement inférieur du joli cul rond et sembla littéralement soulever les deux fesses.
Gilles rejeta la tête en arrière et se convulsa de souffrance, piétina sur place, seul un râlement s’échappa de sa bouche grande ouverte cette fois-ci.

Sssplaaaafff !

Le bandeau de cuir s’écrasa en diagonale en plein travers des deux globes. Une espèce de crissement aigu fusa entre les lèvres retroussées du garçon en pénitence.

Sssplaaaafff !

Cette fois le paddle percuta le haut du derrière qui était déjà d’une chaude nuance coquelicot.

Sssplaaaafff !

Un peu plus bas en plein cul cette fois encore. Un miaulement aigu exprima la détresse du garçon qui maintenant agitait ses jambes en tous sens mais ne pouvait se pendre par les poignets.
Jacques comprenant qu’il allait céder, se déplaça et abattit son paddle de bas en haut en visant l’entre fesse entrouverte.

- Aaaaaaaye ! Nooooooon, Maître ! Pluuuuuuus ! C’est horrible ! Pitié ! Ca fait trop maaaaaaal !

Gilles venait de craquer : visage convulsé, mains et pieds crispés de douleur, des larmes perlaient à ses jolis yeux.
Jacques sourit en levant le paddle ; la bande de cuir claqua furieusement contre les deux fesses écarlates.
Cette fois Gilles ne chercha plus à contenir ses cris, bien au contraire, éclata en clameurs affolées et supplications :

- Aaarrrggghhh !!! Ouaaahhh !!! Aaasssez !!! Nooon !!! Nooon !!! Maître ! Plus le paddle ! J’ai…Trop…Mal… Pitié !

Sssplaaaafff !

Le joli cul rond bondissant de souffrance sembla s’ouvrir en deux sous l’affreux claquement du cuir qui venait de le percuter une nouvelle fois. Les fesses s’écartèrent et Jacques put voir l’anus palpitant de douleur s’ouvrir et se fermer comme une petite bouche rendue muette par la torture.

Sssplaaaafff !

Lancée de bas en haut l’épaisse lanière noire percuta l’arrondi de la croupe et souleva brutalement les deux joues brûlantes et cramoisies.

- Nooon ! Arrêtezzz !!! Assez !!!Assez !!! Plus ça, Maître !!!

Sssplaaaafff !
Sssplaaaafff !
Sssplaaaafff !

Trois fois la courroie de cuir du paddle s’écrasa en plein cul et trois fois à la même place causant une horrible brûlure à la tendre carnation du cul masculin et arrachant des plaintes stridentes à Gilles qui piétinait sur place.
Jacques, qui bandait comme un âne en fustigeant férocement le joli cul du garçon attaché, décida que cela pouvait suffire pour une première fois. 
Le bras le long du corps, prolongé par la paddle qu’il tenait solidement, s’approcha du garçon lié, caressa le cul bouillant de sa main libre, suivi les marques rouges du cul bouillant, puis détacha son esclave, l’escorta jusqu’au fauteuil de cuir de cuir noir où il chut plus qu’il ne s’assit alors que Jacques revenait avec un verre rempli d’alcool.

Gilles avala le remontant presque d’une seule lampée alors que Jacques, assis face à lui, sirotait tranquillement son verre, lâcha :

- Comme tu viens de le constater le paddle est assez douloureux. Tu en garderas les marques jusqu’à demain matin. Pour parachever cette seconde journée ensemble, je vais t’enculer, mais cette fois avec le gel fait spécialement pour moi. Par contre je ne te fesserai pas avant de dormir, le paddle suffit.

- Merci, Maître !

Ils devisèrent encore une quinzaine de minutes, puis Jacques commanda :

- Va dans la chambre, à quatre pattes sur le lit, cul ouvert. Je t’y rejoins.

- Bien, Maître !

Après avoir nettoyé les verres, Jacques entra dans la chambre, sourit en voyant son esclave déjà bien en position avec son très beau cul encore bien rouge après la correction au paddle, prit dans un tiroir de la commode un préservatif de cuir noir et un petit pot rouge portant juste l’inscription : « Gel P. »
Il ganta sa main droite de latex, se fit bander, mit le préservatif sur lequel, après avoir ouvert le pot de gel, il étala une bonne couche de gel.
Il prit une grosse noisette de gel avec son majeur, l’étala soigneusement sur le trou du cul, se déganta.

Ecartant les fesses de se mains, Jacques aboucha sa bite sur l’anneau rectal alors
que Gilles sentait un picotement gagner son anus, en avertissait son Maître :

-Ca me pique, Maître ! Qu’est-ce que c’est ?

Alors qu’il commençait à pousser sur sa grosse bite épaisse, Jacques répondit :

-Un gel à base de piment de Cayenne et de baume du tigre. Comme ça tu auras une double sensation : pénétration et échauffement.

Il poursuivit son avancée douloureuse.
Gilles se cabrait, criait :

-Aaaaaaayyyyye ! Ca me piiiiiiique ! Sortez, Maître ! Ca m’écarte trop ! Pluuuuuuus !

Malgré lui, il serra les fronces pour ralentir l’odieuse et douloureuse pénétration rectale. Jacques lui décerna deux claques sur chaque fesse, tonna :

- Détend toi, ça va te procurer de nouvelles sensations !

Mains bien ancrées dans le cul rouge, Jacques continua son avancée afin que son gros gland soit emprisonné dans l’anus dont les fronces se serrèrent après son passage, puis s’accorda un répit.
Gilles se tordait, gémissait :

- Asssssssez ! Ca me piiiiiiique trop ! Pluuuuuuus ! Maître, s’il vous plaît !

Jacques donna un coup de reins afin que sa bite s’enfonçât plus en avant, progressa douloureusement dans le conduit encore non habitué à un aussi imposant visiteur.
Gilles s’agrippait à l’oreiller, le mordait, pleurait sous le picotement permanent du gel.

- Ca suffit, Maître ! Pas plus loin ! Ca me brûle ! S’il vous plaît, Maître ! Sortez de mon derrière ! J’ai trop maaaaaaal !

Jacques acheva la pénétration et Gilles sentit le pantalon de cuir adhérer à ses fesses encore chaudes de la correction au paddle ; le Maître lâcha le cul et caressa le garçon embroché par vingt deux centimètres de chair raide.
Quelques instants plus tard, il commença à reculer jusqu’au gland avant de se renfoncer d’un seul jet puissant qui fit vibrer Gilles de la tête aux pieds.

- Doucement, Maître ! Ca me fait maaaaaaal ! Nooooooon ! Pitiiiiiiié !

Insensible à la pitié réclamée par son esclave, Jacques poursuivait ses lents retraits et ses poussées rapides et sèches, enculant profondément Gilles qui avait, lui, l’hideuse impression que le gland allait lui ressortir par la bouche.

La main de Maître prit possession de la bite de l’esclave qui bandait, contre toute attente, et le branla en cadence avec ses allers et retours profonds dans le cul maintenant bien ouvert.
Sentant dans le préservatif de cuir la bite de son Maître vibrer avant de jouir, Gilles éjacula peu après dans la main de Jacques.

Les deux hommes restèrent quelques minutes ainsi, sans bouger, puis Jacques sortit sa bite du cul, s’allongea près de Gilles en l’enlaçant, présenta sa main encore couverte de sa semence à la bouche du garçon :

- Lèche ton sperme !

Après un léger sursaut de recul, Gilles posa sa langue sur la paume, puis les doigts, les lécha soigneusement.
Quand la besogne fut achevée, Jacques roula une pelle profonde à son esclave afin de recueillir salive et sperme mêlés, commenta :

- Ton sperme a bon goût !

Puis il claqua le cul, ajouta :

- Allons-nous laver !

Ils prirent leur douche ensemble, s’embrassèrent, se caressèrent comme deux amants bien repus.

Le lendemain matin, vers huit heures, Jacques expliqua le programme de la troisième journée à son esclave :

- Après le petit déjeuner et ta douche, je te donnerai ta fessée matinale, te mettrai un plug afin de te préparer à être fisté ce soir…

Comme Gilles allait protester, il lui fit signe d’écouter la suite :

- Ce n’est pas moi qui procéderais, j’ai un apprenti qui a ton âge et qui est mon spécialiste. Avant je t’initierai au martinet.

Gilles comprit qu’il n’avait rien à dire sauf :

- Bien, Maître !

- Parfait, allons prendre le petit déjeuner puis tu pourras te laver, faire tes besoins, etc.

- Avec plaisir, Maître.

Gilles quitta le lit et suivit son Maître dans la cuisine après avoir fait une halte pour uriner.
Quarante minutes plus tard, il retrouvait Jacques qui l’attendait assis sur une chaise, en train de lire un livre, s’approchait de lui :

- Je suis à votre disposition pour ma fessée matinale, Maître.

Sans un mot, Jacques plaça son marque page, posa le livre sur la table proche, attrapa son esclave par un bras, le fit basculer à plat ventre sur ses cuisses recouvertes par le pantalon de cuir noir, disposa la bite entre ses cuisses avant de les serrer, constata que plus une trace de la correction au paddle de la veille au soir ne marquait la chair blanche.

De son bras gauche il ceintura le garçon afin qu’il soit parfaitement à sa disposition, puis de sa main droite commença à fesser le beau cul parfaitement offert au châtiment promis.
Pour varier, Jacques fessa anarchiquement les deux lombes, à droite, à gauche, à la base, avec des claques sèches, percutantes qui marquèrent tout de suite le beau derrière de traces roses puis rouges.
Sous les impacts sévères, Gilles réagit peu après en battant la mesure avec ses jambes, pédalant dans l’air, s’agitant sur les cuisses de son fesseur, criant sa douleur :

- Aaaaaaayyyyye ! Ca fait maaaaaaal ! Pas comme ça, Maître ! S’il vous plaît ! Nooooooon ! Asssssssez ! Pluuuuuuus !

- Rien de tel qu’une bonne fessée matinale pour t’activer la circulation du sang. Ton cul est parfait pour recevoir une bonne fessée !

Tenant parfaitement Gilles à sa disposition, il claquait le derrière offert dans toute sa plénitude, se régalait du bruit des claques sur le cul nu, rougissant de plus en plus.

Gilles pleurait, griffait les mollets de cuir, bavait alors que ses fesses recevaient une parfaite fessée manuelle. Il sentait qu’il bandait malgré l’affreuse douleur de son cul toujours claqué par l’implacable main masculine de son Maître.

Soudain, au milieu du bruit des claques, il entendit quelqu’un entrer dans la pièce, releva la tête et, au travers de ses yeux mouillés par ses larmes, il vit un jeune garçon qui regardait la scène.
Sans cesser l’horrible fessée, Jacques salua l’arrivant :

- Bonjour, Alex. Tu arrives juste pour voir Gilles se faire fesser. Admire le beau cul que je claque. Aide-le à supporter cette fessée si tu veux.

Le jeune homme brun s’agenouilla, prit le visage grimaçant de Gilles entre ses mains, dit :

- Comme c’est beau de voir ton Maître te donner une bonne fessée. Sa main claque parfaitement ton très beau cul. Tu dois avoir mal, non ?

Gilles se contorsionna pour essayer de protéger son derrière torturé par les claques avec ses mains, mais Alex les prit dans la sienne au passage, commenta en caressant le visage larmoyant :

- Pas de ça ! Ce serait pire ! Supporte cette fessée ! Pour moi c’est un vrai régal de voir Jacques te fesser !

Gilles se remit à crier :

- Nooooooon ! Maître ! Arrêtez ! C’est insupportable ! Vous me faîtes trop mal ! S’il vous plaît !

Alex colla sa bouche contre celle de Gilles, l’embrassa sans façon, puis se recula :

- Tu as un cul fait pour la fessée, alors accepte-la. Ca va être bientôt fini, il va être rouge juste comme il faut. Cet après midi, avant le martinet, je te fesserai, tu verras, je suis moins bon que Jacques, mais tu aimeras.

Effectivement, Maître Jacques cessa la fessée, laissa Gilles se relever le cul littéralement en feu, mais avant qu’il ne puisse calmer la douleur avec ses mains, les dextres fraîches d’Alex lui massèrent le derrière doucement, avec des caresses presque tendres.

Puis il s’approcha de Jacques et ils se roulèrent une pelle.
Puis Alex se recula, expliqua :

- Je suis entré avec ma clef comme tu me l’avais dit. On laisse Gilles se reposer, maintenant ?

Pour toute réponse, Jacques s’adressa à Gilles :

- Tu as bien fait toutes tes ablutions ce matin ? Tes besoins ?

- Oui, Maître.

Jacques dit à Alex :

- Il faut lui mettre le plug n°4 afin de le préparer pour ton fist en fin d’après-midi. Va le chercher avec le gel.

Alex acquiesça, laissa les deux hommes pour revenir deux minutes après. A la vue du plug, Gilles frémit : environ trente centimètres avec un gland semblable à un gros œuf de poule, suivi d’une longue colonne d’au moins sept centimètres de diamètre et la plaque terminale. Un véritable casse cul !

- Vous n’allez pas m’imposer ça, Maître ?

Jacques et Alex rirent ; c’est ce dernier qui répondit :

- Regarde mon avant bras il est même un peu plus épais. Ca va entrer sans problème, tu vas voir. (Il lui désigna l’espèce de table d’auscultation médicale). Met toi à plat ventre, cuisses bien écartées dans les rigoles.

Pour lui faire accélérer le mouvement, il claqua par deux fois le cul proche à la volée.
La mort dans l’âme, Gilles alla s’allonger dans la position ordonnée, agrippa l’oreiller comme une bouée de sauvetage.

Le froid revêtement de cuir blanc lui apporta un opportun réconfort.
Alex, pendant ce temps, passait deux gants de latex, oignait copieusement le gros plug, protégé par un préservatif de cuir noir, de gel. Puis il se postait près du cul bien ouvert par la position, enduisait de gel le trou du cul et un peu l’intérieur du conduit anal ; alors que Jacques passait devant Gilles et lui bloquait les poignets dont les mains étaient carrément ancrées dans l’oreiller.
Le jeune garçon dit :

- Je suis prêt, Maître.

- Vas-y, ne fais pas attendre Gilles qui est si impatient.  

Alex poussa sur le plug posé à l’orée anale.
Gilles sentit son trou du cul s’écarter douloureusement, mais bien aidé par le gel, le gland ovoïde commença à le pénétrer.

Malgré lui, sous la poussée persistante, il serra les fronces pour freiner l’effraction. Alex, de sa main gauche gantée, claqua deux fois chaque fesse, provoquant un sursaut de Gilles, qui desserra ses fronces et, du coup, la progression du plug se poursuivit et le gland fut avalé.

- Aaaaaaaye ! C’est trop grooooooos ! Maître ! Ca n’entrera pas plus loin ! Sortez-le, s’il vous plaît !

Jacques s’agenouilla pour regarder Gilles dans les yeux, dit :

- Mais non, ne t’inquiète pas, ton beau cul va l’absorber en entier.

- Nooooooon ! Maître ! Ca va m’estropier ! Dîtes lui d’arrêter, on essayera demain !

- Continue, Alex !

Le jeune garçon reprit la poussée centimètre par centimètre, sans heurt ni arrêt, lentement.
Gilles se cambra, cria en sentant le gros gland poursuivre son ascension anale :

- Ouaaaaaaah ! Ca m’éventre ! Maître ! Aaaaaaaye ! Nooooooon !

Alex maîtrisait parfaitement son sujet, poussait lentement, sans aucun à coup, regardait le plug disparaître progressivement dans le derrière rouge.
Il marqua un nouveau temps d’arrêt car les dix derniers centimètres allaient en s’élargissant jusqu’à la base où il y avait un hiatus moins large afin que le trou du cul emprisonne complètement la large base et que le plug ne puisse ressortir seul si jamais l’enculé opérait une poussée.
Jacques déclara :

- Ca y est presque, Gilles. Il ne reste plus que les dix derniers centimètres.

Il tint les mains de l’esclave dans une seule des siennes et de l’autre caressa le visage couvert de sueur et larmes amères et douloureuses.

De la tête, il fit un signe à Alex qui comprit aussitôt qu’il pouvait reprendre son travail.
Il posa de nouveau la main droite sur la plaque terminale.
Cette fois il accentua la cambrure rénale en posant sa main gauche sur les reins alors que la droite poussait sur le plug.

Sentant son anneau rectal s’écarter d’avantage, Gilles cria :

- Ne forcez pas, Maître ! Ca va me blesser ! Aaaaaaaye ! Nooooooon ! Pluuuuuuus ! S’il vous plaît !

Alex ne tint aucun compte des plaintes de Gilles qui souffla lorsque son anus emprisonna le hiatus terminal.
Certain que le plug ne bougerait pas, Alex ôta ses gants, posa ses mains sur les hanches de Gilles, dit :

- Allez ! C’est fini ! Lève-toi !

Il tira le corps vers l’arrière en le faisant pivoter.
Gilles protesta en geignant, mais se retrouva sur ses pieds, resta penché vers l’avant avec cette imposante colonne de cuir dans le cul.
Alex claqua les fesses encore bien rosées, ponctua :

- Avance ! Marche un peu que tu t’habitues au plug ! Qu’il se positionne comme il faut !

- Ne me fessez pas, Maître ! Je vais avancer ! Aaaaaaaye !

Mais Alex continuait de claquer les fesses afin que Gilles se tienne droit.
Après deux tours complets autour de la table, Alex porta sa main à la plaque terminale, la remua un peu ce qui fit protester Gilles, puis la lâcha :

- C’est bon, Jacques ! Ca tient parfaitement, et il ne pourra pas l’expulser, même en forçant.

- On verra ça quand on rentrera des déjeuner et ballade. Habillons-nous pour sortir…

 

Vers seize heures, le trio réintégrait l’appartement. Gilles avait fini par s’habituer à la présence dans son cul de l’imposant et encombrant plug. Il savait que le plus dur restait à venir : le fist.
Jacques lui ordonna :

- Va te mettre à poil. Alex va t’accompagner pour ôter ton plug, puis vous irez dans la salle des punitions où, en ma présence, tu seras flagellé au martinet, puis fisté.

Gilles se déshabilla dans la chambre, puis rejoignit Alex qui l’attendait dans la salle de bain, déjà ganté de latex.

- Prend appui sur le lavabo, écarte tes cuisses.

A peine en position face au grand miroir, il reçut deux claques :

- Mieux écartées les cuisses !

Alex mit la main sur la plaque terminale du plug, l’agita sèchement et commença à tirer.

- Aaaaaaaye ! Doucement ! Doucement, Maître ! C’est collé à l’intérieur ! Ca me fait comme si vous m’arrachiez la peau !

Le jeune garçon marqua un temps d’arrêt une fois la partie conique sortie, agita de nouveau le plug et recommença à tirer.
Un chuintement marqua la fin du retrait.

Alex se pencha vers l’anneau rectal en tenant les fesses écartées au plus large, sourit à la vue de l’orifice bien ouvert, claqua les fesses, dit :

- Parfait ! As-tu envie de chier ?

- Non, Maître ! Tout va bien !

- Allons dans la salle des punitions.

Jacques y était déjà, assis dans un profond fauteuil de cuir rouge.

- Attache-le à la croix ! Pas les jambes, surtout !

C’était une croix en forme de T avec aux extrémités latérales des deux branches un lien de cuir.
Bras écartés, poignets liés, Gilles offrait aux deux hommes son beau cul nu, pâle malgré la bonne fessée matinale.
Comme le mur face à lui était un grand miroir, il vit Alex prendre sur la table un martinet au long manche prolongé d’une dizaine de lanières de cuir noir, pas très longues et assez fines.
Jacques précisa :

- Il est traité spécialement afin que ta peau ne saigne pas…

Il marqua un temps d’arrêt, ajouta :

- Tu peux officier, Alex.

Le jeune garçon prit position sur la droite de Gilles qui le vit lever le bras armé du martinet, le rabattre sèchement et les dix lanières percutèrent son cul offert dans sa totale plénitude.
Le claquement sec sonna aux oreilles des trois hommes, mais seul Gilles en subit l’impact, agita ses jambes sous le choc percutant ses fesses.
Nouveau claquement.

Gilles serra les dents pour ne pas régaler ses deux Maîtres en criant sa douleur.
Alex fouettait de façon à ce que toutes les lanières s’étalent parfaitement à la surface du cul. Chaque impact laissait dix marques rouges à chaque passage.
Le flagellant stimulait le fouetté :

- Garde ton cul bien cambré ! Offre-le bien à mon martinet ! Tu vas bientôt le sentir parfaitement !

Après une dizaine de percussion des lanières de cuir, Gilles ne parvint plus à maîtriser l’intense douleur infligée à ses fesses nues, poussa des petits jappements, qui se transformèrent en cris de douleur et de détresse :

- Aaaaaaaye ! Nooooooon ! Pluuuuuuus ! Maître ! Ca fait maaaaaaal ! Je connais maintenant ! Cessez !

Jacques, très attentif à la flagellation, rétorqua :

- Non, ça ne pas cesser ! Le meilleur est à venir, tu vas voir !

Bien tenu par ses liens, Gilles commença à remuer les jambes dans la vaine tentative de soustraire son beau cul aux incessantes morsures des dix lanières de cuir. Mais rien n’y faisait ! Parfaitement manié par Alex, le martinet revenait toujours frapper sèchement les fesses de plus en plus rouges. Il visa d’une façon plus compact sous les fesses juste à la jonction cuisses-fesses, du bas vers le haut.

Plus douloureuses, plus insidieuses, les lanières arrachèrent des cris plus aigus au pauvre Gilles :

- Ouaaaaaaah ! Pas lààààààà ! Ca fait trop maaaaaaal ! Pitiiiiiiié ! Maître ! Je vous en priiiiiiie !

Alex, sans céder, recommença à flageller l’ensemble du cul qui s’agitait de plus en plus en tous sens.
C’était un spectacle digne de l’Inquisition que ce garçon lié à la croix avec son flagellant qui sans repos faisait voler son martinet vers les fesses de plus en plus rouges et le spectateur qui avait sorti sa bite et se branlait au rythme de la flagellation.

Puis, rapidement, Alex lâcha son martinet, vint contre Gilles, le ceintura en l’étreignant contre lui, pour le fesser à larges claques données pleine main afin d’achever la terrible correction.
Gilles se rebella, hurla :

- Non ! Pas ça ! Plus de fessée ! C’est horrrrrrrrible ! Pitié, Maître !

Agitant ses jambes pour une vaine libération, il n’atteignit même pas son correcteur, qui cessa finalement la terrible correction.

Alex détacha les poignets de Gilles qui porta aussitôt les mains à son cul bouillant pour tenter, en vain, d’en diminuer l’ardente cuisson.
Jacques quitta son fauteuil, rangea sa bite à l’intérieur du pantalon de cuir, invita ses deux hôtes :

- Allons boire un remontant puis on passera à la suite du programme.

Trente minutes plus tard, Gilles se retrouvait à plat dos sur la table d’auscultation mains liées, jambes écartées, larges ouvertes coté tête, bien tenues par Jacques debout derrière lui, pendant qu’Alex recouvrait main et avant bras d’un long gant de cuir noir très fin, luisant de gel sous l’éclairage. Ses anus et conduit rectal avaient préalablement été enduits eux-aussi de gel.

Le jeune garçon s’agenouilla coté fesses, réunit ses doigts en faisceau conique et les posa sur l’orifice bien ouvert par la position. Après un regard vers Jacques qui hocha la tête, il commença à pousser pour faire pénétrer ce cône de chair et cuir dans le cul.

Gilles, sentant le faisceau de doigts pénétrer en lui, se crispa, serra en vain ses fronces anales.
Peine perdue. Ca glissait bien, lui écartelait le trou du cul à la limite du point de rupture quand la paume franchit le barrage du sphincter et fut très vite totalement absorbé jusqu’au début du poignet.
Gilles cria alors qu’Alex marquait un temps d’arrêt :

- Aaaaaaaye ! Nooooooon ! Ca m’éventre ! Stop ! Aaaaaaarrêtez ! Ca n’entrera pas plus loin !

Alex, avant de reprendre le fist, dit :

- Mais si, tu vas vite en avoir la preuve !

Et il recommença sa lente percée dans le conduit anale, centimètre après centimètre.
Gilles sentait les doigts qui se frayaient en lui, comme un serpent de cuir, criait toujours :

- Nooooooon ! Pas si loin, Maître ! C’est trop gros ! Vous me dilatez trop !

Pourtant, Alex ne se laissait pas impressionner, poursuivait son avancée et finalement, sans à coup, son avant bras fut totalement dans l’intestin, jusqu’à l’orée du coude. Il accorda un temps de repos à Gilles, avant de refluer vers l’arrière, toujours lentement, jusqu’à laisser le poignet dans l’anus.

- Ouaaaaaaah ! Ca fait maaaaaaal ! Maître ! Ne le sortez plus !

- Comme tu veux !

Nouvelle entrée complète.
Alex pouvait voir que Gilles bandait malgré tout. Alors il se mit à limer le cul tout en branlant le fisté de sa main libre.

Sous l’intense pénétration et la main qui le branlait, Gilles ne tarda pas à jouir.
Alex sortit rapidement son bras du cul alors que Jacques lâchait les jambes de Gilles se relâcha en geignant :

- C’est horrible !

Alex en convint :

- Certes, mais tu as joui intensément…

A suivre ?