Les vertus du sperme

Voici un sujet expliquant pourquoi il est bon pour les soumis et autres bâtards d'avaler le sperme de leurs Maîtres !

Nous considérons que le sperme des Maîtres et dominateur est nécessaire pour la survie des soumis et autres bâtard. C’est le sperme du Maître qui permet au bâtard d’avoir sa forme humanoïde, de parler et se tenir debout . Recevoir le sperme de son Maître est une récompense pour le soumis, sans cela le soumis régresse et  passe de l’état de bâtard à chien, puis larve pour finir en simple objet ; bien sûr les soumis ne son pas tousse egaux devant les bien fais du sperme des Maîtres !

Lire attentivement les avertissements 

 

Introduction et Présentation :

Depuis de nombreuses années, les chercheurs s’intéressent au sperme murin et humain, pour ses propriétés de fontaine de jouvence, entres autres.

Dans les différentes études sur les bienfaits de la sexualité sur la santé, le sperme aurait lui un rôle important sur ces différents bienfaits observés. Son contenu particulièrement riche aurait de nombreuses vertus pour l’équilibre des personnes qui le reçoivent. Dans la médecine ancienne, le sperme était déjà considéré comme « liqueur admirable car il est un liquide stimulant, plein d’énergie et de puissance ».

Les vertus du sperme véhiculées « en secret » depuis des siècles seraient maintenant prouvées de manière scientifique. Du point de vue médical, le sperme ne contient pas de sécrétions néfastes à la santé, au contraire, si l’homme n’est pas contaminé par le virus du sida ou autres MST c’est une substance parfaitement saine sans aucun microbe.

 

Composition :

Le sperme contient des matières psychotropes qui ont des effets proches du Vallium. Il protègerait donc de la dépression.

Dans le but originel de nourrir un zygote (cellule-œuf), le sperme contient (quelque soit sa provenance) est riche en oligo-éléments, sels minéraux comme le zinc, vitamines et sucres, sorbitol et fructose à index bas), mais aussi de l’eau, des enzymes, des protéines; de la vitamine C et autres vitamines de valeur biologique supérieur à tout autre produit.

Scientifiquement parlant le sperme contient
- de l’eau à 90% ;
- environ 100 millions de spermatozoïdes ;
- de la vitamine C et de la vitamine B12;
- des enzymes ; des protéines (0.9 grammes );
- de l’Arginine,
- du Glutathione,
- de la Créatine et de la L-Carnitine ;
- des oligo-éléments comme le zinc, le phosphore, le sélénium, le magnésium, le calcium et le potassium,
- des prostaglandines qui agissent de la même façon que l’ocytine qui est utilisé lors de l’accouchement en perfusion pour faciliter celui-ci,
- de la spermidine.

 

Vertus :

Le sperme rend de bonne humeur. Selon une étude, les hormones présentes dans le sperme, soit l'œstrogène et la testostérone, rendent les personnes plus heureuses lorsque leur partenaire éjacule pendant la pénétration.

Il possède une valeur calorique faible, 6 calories et 0.1 grammes de glucide principalement du fructose mais aussi du sorbitol et de l‘inositol. Il permettrait de faire maigrir car le sperme et l’un de ses composants chimiques possèderait un effet amaigrissant.

Le sperme serait bénéfique contre le diabète et le mal de gorge, selon des recherches.

Un peu de sperme sur la peau serait même bénéfique pour l'épiderme et agirait comme un masque, riche en protéines.

La spermidine est un inhibiteur de l’oxyde nitrique synthétase, une enzyme catalysant, comme son nom l’indique, la formation d’oxyde nitrique. Ce processus serait à l’origine de l’amélioration des facultés mémorielles suite à la consommation de spermidine (Université Fédérale de Santa Maria).

La spermidine fait aussi précipiter l’ADN ; ce mécanisme, et d’autres non encore élucidés, semblent contrer le vieillissement cellulaire en induisant l’autophagie des cellules (variante de l’apoptose conduisant à la l’auto-élimination des cellules affectées).
Cette propriété est des plus intéressantes pour la recherche en cancérologie (lutte contre la prolifération cellulaire) : la norspermidine, un dérivé de la spermidine, fait actuellement l’objet d’intenses recherches pour ses propriétés anti tumorales.

La spermidine est également une phytohormone (hormone des plantes) : elle régule la croissance végétale. Assez répandue parmi les végétaux, cela laisse entendre des mécanismes d’action complexes, objet d’étude de la biologie cellulaire.

Des tests menés sur des cellules traitées à la spermidine montrent que ces cellules subissent moins de dommage dus au vieillissement que les autres. L’effet protecteur de la spermidine vis-à-vis des maladies de Parkinson et d’Alzeihmer (en pleine recrudescence) semble avéré.

Egalement, l’induction de l’autophagie rendrait les cellules immunitaires plus résistantes, et permettrait de lutter contre les maladies auto-immunes (retournement des anticorps contre le corps, lui-même).

La séminophagie (ou ingestion de sperme) apporterait, selon Wikipédia, des oméga-3 (si bons pour la santé, à en croire les publicités), ainsi que 7% des AJR en potassium, 3% des AJR en cuivre et zinc, ainsi que 3 mg de (bon) cholestérol, 11 mg d’hydrates de carbone, et 150 mg de protéines. La substance est très riche en sélénium, vanadium, et molybdène. Bref, c’est un aliment comme les autres (paraît-il), semblable à l’albumine contenue dans les œufs.

 

Recette :

En 2007, un infirmier de San Fransisco a abandonné son travail pour se consacrer à une activité plus lucrative : l’écriture. Il a inventé son style : la gastronomie… au sperme. Sous le titre Natural harvest (« récole naturelle »), le chef improvisé a présenté le premier livre de cuisine à base de sperme.

Ça a quel goût le sperme ?
Il semble que ce que l’homme mange puisse influencer le goût et l’odeur du sperme. Ce qui paraît cohérent puisque l’alimentation influence l’odeur de la sueur, la saveur de la salive, des baisers ou le goût du lait maternel.
En effet, la nourriture influe grandement sur la composition du sperme, de même que les éleveurs s’arrogent les mérites d’une (future) viande nourrie de produits issus de l’agriculture biologique.

En 2010, un restaurant belge a proposé à la consommation du lait humain. La prestation n’a pas vraiment fait florès, mais il s’agit d’une initiative isolée. Alors que l’ONU envisage sérieusement de manger des insectes d’ici peu, pour pallier au problème des ressources alimentaires, le sperme – animal, entendons ! – est un liquide abondant, facile et peu coûteux à extraire, et surtout extrêmement nutritif.
Les œufs de caille sont le mets privilégié des astronautes : ils ont le meilleur rapport qualité nutritive/taille, mais dans un volume restreint, le sperme apporte autant de nutriments.

Pour ceux et celles que cette pratique rebuterait, le raisin, le soja et le pamplemousse sont naturellement riches en spermidine (ainsi qu’en resvératrol, la star des antioxydants). Du coup, plus aucune raison de se priver (de sa dose journalière en spermidine) !

Recette du smoothie au sperme :
Prenez une banane, du lait, de la glace, ajouter-y trois cuillères de sperme bien frais mixez le tout et dégustez.

 

Précautions, contres indications et avertissements :
Les conseils ci-dessus s’appliquent donc pour des relations sérieuses, entre gens qui se connaissent et font l’amour sans préservatif.

Comme s’il fallait le préciser, le sperme, comme tous les liquides biologiques, est sujet à la contamination bactérienne. En raison de sa teneur nutritive, il est, à l’air libre, rapidement pris d’assaut par les microbes. Sans oublier les MST, certains polluants qu’il fixe, et les personnes allergiques au sperme (dans de rares cas, le coït provoque un choc anaphylactique).

Quant aux infections, le risque est plus théorique que réel : comme chacun sait – ou non – le SIDA et autres maladies ne sont généralement pas transmissibles par voie digestive : les enzymes salivaires et digestives (surtout), alliées au pH acide de l’estomac détruisent le virus. Il suffit par contre d’une plaie (type aphte) pour permettre un passage sanguin !

Attention, tous les encouragements à cette pratique ne doivent pas éluder une chose. De nos jours, malheureusement, des maladies sexuellement transmissibles circulent. Et il est du devoir de chacun de se protéger. Même si le risque en fellation est inférieur à une pénétration, il existe quand même. Il est donc vivement déconseillé de pratiquer une fellation sans préservatif à quelqu’un dont on n’est pas sûr.

 

Histoire, Géographie, Science et Avenir :

D’après une étude réalisée sur 200 femmes suivie pendant un an, suivant le même régime alimentaire et ayant un cadre de vie identique sous la direction du professeur Ingrid Fleischer de l‘université d‘Hambourg en Allemagne « les femmes pratiquant la fellation et qui avalent le sperme de leurs compagnons réussissent à maigrir jusqu’à deux fois plus vite que les autres ». Ces vertus amincissantes du sperme sont dues à la présence d’une substance nommée alcaline qui ne fonctionne aussi efficacement comme agent anti-graisse qu’en présence des autres composantes du sperme masculin.

Mais ses vertus ne s’arrêtent pas là puisqu’il permettrait aussi l’équilibre des hormones féminines et protègerait, semble-t-il, efficacement des cancers de type hormonal. En effet, une étude a été réalisée en Californie du Sud sur 15000 femmes âgées de 25 à 45 ans dont 6246 pratiquaient la fellation de manière régulière depuis 5 à 10 ans et 9728 femmes qui ne pratiquaient la fellation que peu ou pas du tout. Dans le groupe qui pratiquait régulièrement la fellation seulement 1.9 % d’entre elles avaient été touchées par un cancer du sein contre 10.4% dans l’autre groupe. Cette étude démontre que la fellation réalisée 2 fois par semaine diminuerait le risque du cancer du sein de 40 %.

Les recherches médicales ne sont pas encore terminées mais la fellation serait efficace pour se maintenir en bonne santé à condition que le partenaire masculin ne soit porteur d’aucunes MST puisque des études menées à l’université de Malmo en Suède et par une équipe de l’agence nationale de recherche sur le cancer de Lyon ont démontrées que des pratiques bucco-génitales comme la fellation et le cunnilingus pouvaient être liés au développement du cancer de la bouche à cause du virus HPV (le papillomavirus).

Tobias Eisenberg et Frank Madeo, de l’Université de Graz (en Styrie, Autriche) vont assez loin en vantant les mérites anti-vieillissement de la spermidine, une molécule contenue dans le sperme et les intéressant au plus haut point : “C’est en quelque sorte le Graal sacré contre le processus du vieillissement des cellules”.

Il apparaît clairement, en plus du problème éthique (et religieux), que le sperme n’est pas consommable. En revanche, un futur proche pourrait voir le conditionnement du sperme animal (si ce ne sont des cachets de spermidine !).

Il est facile de dissocier les deux constituants du sperme : le liquide séminal et les spermatozoïdes (semence), si l’on compte proposer un article moins « vivant ». Le liquide séminal (ou liquide pré-éjaculatoire) est le milieu dans lequel baignent les spermatozoïdes. C’est lui qui est responsable de sa consistance ; il représente 90% du sperme humain, et dans un futur proche pourrait bien voir la commercialisation du sperme issu d’animaux, aromatisé bien sûr.

 

Sources :