Après 3 lapins

 

Xboy était venu pour un plan sm qui s’était bien passé puis devait revenir. RDV pris, à l’heure dite personne. Quelque temps après une excuse, invérifiable, liée au travail. Nouveau rendez-vous, nouveau lapin, nouvelles excuses, nouvelle date. Troisième lapin. Selon mes règles, cela signifie la radiation des contacts. Néanmoins, je lui propose de se faire pardonner en acceptant une punition pour ces 3 lapins.

Le tarif pour un lapin ou un plan annulé c’est 1 000 coups, réduits à 800 s’il y a une excuse, 500 pour une excuse vérifiable ou une annulation 2h avant le rdv. Cela faisait donc 2400 coups. Mon serial lapin hésite, négocie, mais finalement accepte le défi.

Le rdv est pris et Xboy sait que s’il ne vient pas ou ne respecte pas les règles, il pourra dire adieu à ce jeune maitre qui lui plait tant.

Comme convenu, il sort de sa voiture à genoux et rentre dans le donjon. Xboy, 28 ans, svelte, se déshabille entièrement, sans un mot, comme ordonné. Il ne garde que ses skets et cho7. Il sait qu’il vient pour une punition et ne doit surtout pas parler avant d’être attaché. Pour une fois, il obéit. Il a compris qui décidait.

Son corps nu est quasiment imberbe, sa taille étroite et ses muscles augmentent l’envie de le corriger. Je l’attache en croix, les mains maintenue écartées, attachée à une chaine fixée au dessus de sa tête ; les chevilles maintenue écartée par une barre d’écartement. Il ne peut plus ce sauver, sa croupe, son dos et son torse à la merci des morsures du martinet ou de la ceinture.

J’ai choisi ces deux instruments pour rendre le châtiment supportable et varié.

Schlac !

Le premier coup de martinet tombe, doucement, sur la fesse droite, suivi par un autre, sur la fesse gauche

Schlac !

Et ainsi de suite.

Sur mon ordre, il compte « 10 » Le martinet continue de tomber « 20 », « 30 », « 40 ».

Les fesses rosissent.

Les premières séries ne sont pas très appuyées. J’ai 2400 coups pour le faire craquer, je peux varier les plaisirs. Alors toutes les zones de son corps vont morfler : Abdos, torse, cuisses, épaules…

Je tourne autour de ce corps qui m’est entièrement offert. Le martinet caresse un teton, puis s’enroule autour des flancs.

Puis il tombe en rafale, sur les épaules, sur les fesses, sans pause tous les dix coups. Xboy à du mal à compter. Tant pis pour lui s’il compte 10 quand j’en compte 12 !

« 100 » Il est temps de passer à la ceinture.

Pliée en deux, elle mord plus que le martinet, sur une zone plus réduite. Elle s’enroule moins aussi. Idéal pour rougir les fesses, pour provoquer quelques gémissements en descendant sur les cuisses.

« 200 » Retour au martinet.

Je peux appuyer plus mes coups. Les pointes lanières attaquent les zones tendres des cuisses et des flancs pour y laisser la marque caractéristique de l’instrument.

Je lacère le dos dans le sens vertical, puis horizontal, marquant d’un quadrillage rouge cette zone si propice aux châtiments corporels. Xboy commence à gigoter, à gémir, à se plaindre.

Je me mets en face de lui. Le martinet permet d’atteindre ses fesses ou son dos tout en faisant face au puni. Je peux voir son visage grimacer sous les coups. Plus il grimace, plus je tape fort. Une fois qu’il a compris, il s’efforce de se retenir, ce qui rend la séance encore plus plaisante.

Ceinture, martinet, et ainsi de suite, les coups pleuvent ou s’espacent, pour varier le rythme.

« 790 ». J’appui la série de 10 qui suit, on en est au premier tiers.

« 800 » pause.

Une série de 100 au martinet, sans répit, concentrée sur les fesses. Il commence à lâcher la chaine, ne tenant plus debout que par les attaches.

« 900 »

« Redresse-toi batard ». Il faut encore tenir.

Dernière centaine avant les « 1000 ». Je m’éloigne et déplie la ceinture. Dans toute sa longueur elle vient lécher le dos quadrillé des stries du martinet pour apporter des larges marques roses foncées.

« 1000 »

On continue, les coups sont de moins en moins retenus, de même que les cris et les grimaces.

Il demande grâce à 1550.

Détaché, il tombe à plat ventre devant moi, à sa place en somme.

Après qu’il a repris son souffle, je lui indique qu’il n’a pas mérité mon pardon, qu’il peut donc partir immédiatement. Il manque 850 coups. Il a le choix : reprendre la position pour les subir ou partir. J’ajoute la possibilité de transformer 10 coups de martinet en 1 coup de cravache. Il opte pour la cravache.

Il reprend la position, faisant preuve de courage.

Les 85 coups de cravache finissent de punir ce bâtard poseur de lapin.

Après cela, il se prosterne à mes pieds. Je lui annonce qu’il a mérité mon pardon et qu’il pourra revenir.