Nouvelles du reseau

 

Ayant répondu à une annonce sur SM boy deux jours plus tôt,  je me présentai comme convenu  avec John vers 14h à son domicile de Paris 7ème.
J’aimais  beaucoup l’immeuble haussmannien que je découvrais en composant le code pour y accéder. Passé le corridor, je me dirigeais vers l’escalier de droite, cherchais son nom sur la liste affichée à l’interphone. (Non ! je ne vous le donnerai pas).

A la voix grave qui me répondit je me nommais :

-Monte, quatrième droite.

La porte fut déverrouillée, et quand je fus dans le nouveau  hall en attendant l’ascenseur, je vérifiai ma tenue dans le grand et large  miroir du mur latéral.
Je mesure un mètre quatre vingt cinq, chauve sur le dessus, cheveux blancs pour ceux qui me restent à soixante ans, yeux verts, nez droit, bouche moyenne aux lèvres correctement dessinées, menton volontaire ; j’avais revêtu une chemise bleue, un pantalon clair et un blazer bleu marine.
Parvenu à la porte, je sonnai et, aussitôt, le battant s’ouvrit : je découvrais un jeune garçon de vingt ans, un peu plus grand que moi.

- Entre, ne reste pas sur le palier.

Je pénétrai dans l’appartement, continuais d’observer John vêtu d’un simple pantalon de cuir qui le moulait comme une seconde peau, torse nu imberbe. La chevelure blonde, bien peignée, ses yeux bleus, assez froid, me fixaient sans ciller. Il avait un nez droit, une bouche large.

- Passons directement dans ma chambre. (Il précisa) Je suis toujours seul l’après midi, car sinon c’est l’appart de mes parents qui rentrent vers 20h.

La pièce faisait au moins quarante mètres carrés. John avait allumé la lumière car les rideaux étaient tirés. Il s’assit dans un profond fauteuil, me laissa debout, me désigna une table sur laquelle reposaient des godes, martinets, un paddle, gants de latex et deux tubes de gel :

- On n’utilisera peut-être pas tout. En attendant de commencer, tu as exactement 20 secondes pour te mettre à poil. (Il regarda son chronomètre au poignet, puis me fixa le regard goguenard). Tout dépassement sera facturé une claque la seconde. Je démarre quand tu commences afin de ne pas te voler.

Soucieux de ne pas perdre de temps, encore moins de discuter, je commençai à déboutonner ma chemise, l’ôtai, me penchai pour délasser mes chaussures avant de m’en défaire, dégrafai ma ceinture, déboutonnai mon pantalon, baissai mon slip et déposai tout mes vêtements sur une chaise libre, fis face à mon hôte qui arrêta le chrono, annonça :

- Deux minutes douze secondes. Pas mal. Si l’on ôte de ce temps de 132 secondes les 20 que je t’avais allouées, ta première fessée est fixée à 112 claques sur ton très beau cul nu.

John quitta le fauteuil pour aller s’asseoir sur un tabouret au plateau de cuir noir, posa le chrono sur la table voisine, commanda d’un ton plus autoritaire :

- Approche !

Je fis les deux pas nécessaires pour venir face à  lui qui lâcha :

- Tourne-toi, présentement seul ton cul m’intéresse.

J’obéis sans tarder, offris mes fesses nues à son regard, puis à ses mains quand il les y posa, tâtant ma chair des ses longues mains aux doigts étrangement fins, presque féminins. Ecartant les deux globes jumeaux, il ordonna :

- Penche toi vers l’avant que je mate ton trou du cul.

John resta silencieux une bonne minute, puis déclara :

- Ton orifice a l’air bien étroit…

Il attrapa un gant de latex sur la table, s’en couvrit la main droite, présenta son majeur à ma bouche :

- Mouille-le si tu veux que ça glisse bien.

J’humectai soigneusement le long doigt ganté, puis il le posa sur mon anneau rectal et l’enfonça doucement, profondément, le fit aller et venir en tous sens avant de le sortir, commenta :

- Pas de doute, tu es très étroit. As-tu été souvent enculé ?

J’avouai :

- Jamais. C’est la première fois que j’ai envie d’être totalement dominé par un garçon. J’ai déjà été fessé, mais jamais plus. Je suis bisexuel depuis l’âge de 18ans, mais suis dominateur.

Tout se dégantant, John fit claquer sa langue contre son palais, approuva :

- Parfait. (Il me prit par un bras, me fit basculer à plat ventre sur ses cuisses recouvertes par le pantalon de cuir) Alors ne faisons plus attendre ce beau cul nu encore ferme pour ton âge.
Tout en positionnant ma bite entre ses cuisses qu’il serra, il ajouta :

- Lorsque tu me réponds, tu dois toujours dire : « Maître ! », sauf si je t’en dispense. Donc tu auras dix claques supplémentaires pour ce manquement disciplinaire. Il en sera ainsi à chaque omission de ta part. Pigé ?

- Oui, Maître !

- Cambre-toi bien, offre bien ton cul à la main qui va le claquer.

J’obtempérai en acquiesçant :

- Bien, Maître !

Son bras gauche me ceintura aux reins, et tout suite sa main droite percuta ma fesse droite, sèchement, y revint rapidement, exactement au même endroit.
John semblait posséder une main de fer car je ressentais l’impact des claques dans tout mon corps. J’avais envie de crier ma douleur tout de suite, mais n’avais aucune envie de le régaler de mes cris et, du coup, serrai dents et lèvres afin de garder mon énergie.

Par dix fois la grande main me claqua au même endroit avant de se décaler pour percuter un autre endroit toujours dix fois.
Je commençai à agiter un peu mes jambes, puis mon corps, mais impossible de bouger car il me tenait solidement. Après la trentième claque, je ne puis plus garder mes lèvres serrées, grognai, puis criai ma douleur :

- Aaaaaaaye ! Maître ! Ca fait maaaaaaal ! S’il vous plaît, plus la fessée ! Votre main me fait trooooooop mal !

- Parfait, tu commences à bien sentir mes claques ! C’est le but ! Sache que j’adore fesser un cul nu, j’aime le bruit que ma main produit sur la chair nue !

Je sentis, au travers de ma douleur, sa bite, sous le pantalon de cuir, qui était en pleine érection contre mon flanc gauche. Elle me semblait énorme tant en épaisseur qu’en longueur.
Je continuai à crier :

- Pitiiiiiiié, Maître ! Arrrrrrrêtez ! J’ai trooooooop… Maaaaaaal ! S’il vous plaît, faîtes une pause !

- Que nenni ! Par contre voici la 56ème, alors je vais régaler ta fesse gauche sinon elle va être jalouse !

Je me gardai de tout commentaire, alors que mon globe gauche recevait sa toute première claque vite suivi des suivantes selon la même méthode.
Maintenant mes jambes pédalaient dans le vide, telles Armstrong dans le Galibier.
Je supportai de plus en plus difficilement ces nouvelles claques. Bêtement je croyais que John allait se fatiguer, voire se lasser. Peine perdue ! Sa longue main fine continuait inlassablement de me fesser.
Cette fois à mes cris s’ajoutèrent des larmes que je ne pus même pas retenir. Je sanglotais comme un adolescent claqué cul nu par son père :

- Ca suffit, Maître ! Asssssssez ! Plus la fessée ! Je vous en prie ! Pitiiiiiiié, Maître !

Sans cesser de pédaler je me contorsionnai dans l’arceau du bras de John pour tenter d’échapper à cette terrible fessée manuelle. En vain : il me tenait très solidement, disait :

- Voilà un cul qui rougit bien comme je l’aime. Une véritable tomate bien mure. Te voilà culotté de rouge comme il faut ; pas besoin de mettre de slip, un string te suffira. Encore deux claques… Voilà pour les cent douze, c’est fini !

Il me relâcha, expliqua :

- Restent les dix dernières. Je t’accorde une pause dans ma grande bonté d’âme !

Je ne me le fis pas répéter, projetais mes mains vers mes fesses pour les masser afin d’en atténuer la brûlure.

- Tu peux te lever, si tu veux.

Je me mis debout. Par le truchement d’un grand miroir mural je vis qu’en effet mes fesses étaient aussi rouges qu’un coquelicot.
Se levant lui aussi, John prit en main le paddle transparent, (création m’expliqua-t-il plus tard d’un garçon du réseau Smboy, pseudo ISKlaver), fit claquer l’épaisse et longue languette translucide contre la paume de sa main, dit :

- Ce sera parfait avec ça, à moins que tu ne préfères la cravache.

Le bruit claquant de l’instrument me fit frissonner, néanmoins je répondis :

- Comme vous voulez, Maître.

- Bonne réponse. Prend appui sur la table avec tes mains, présente moi tes fesses bien cambrées, écarte un peu les cuisses que ton cul s’offre dans son entière plénitude.

- Faîtes doucement, Maître, j’ai encore très mal.

- Tu me prends pour un bourreau, ma parole.

- Non, Maître !

Je pris la position requise, offris mes fesses à mon correcteur, serrai les dents. Par le truchement du miroir, je le vis lever le bras et le paddle percuta mon cul avec un bruit de pétard.
J’hurlai :

- Aaaaaaaye ! C’est horrible ! Pitiiiiiiié !

C’était comme si dix claques manuelles m’avaient frappé en même temps.
Comme je portai mes mains à mon derrière enflammé, il commenta :

- Un ! Restent neuf ! En place, sinon on y sera encore demain !

- Epargnez-moi, Maître, ça fait trop mal, je ne vais pas pouvoir tout supporter !

- Cesse de gémir !

John releva son bras et, nouveau claquement aussitôt suivi du troisième. J’hurlai à pleins poumons tant la douleur était insupportable pour mes fesses meurtries. Il me laissa me masser le cul avant de m’ordonner de reprendre la position.
Les quatrième, cinquième et sixième furent assénés à la suite avant qu’une très courte pause me fut allouée.

- Les quatre derniers et tu seras tranquille.

Les yeux humides de larmes, mains crispées à la table, fesses offertes, je vis John lever son bras et reçus très vite les quatre derniers coups de paddle. Alors qu’il reposait l’instrument de correction sur la table, je piétinai et massai vigoureusement mon cul en proie aux flammes de l’enfer. Il conclut :

- Comme ça tu n’oublieras pas de m’appeler : « Maître », sinon ce sera paddle pour tes fesses ou cravache pour ta bite. Vu comme tu bandes après cette séance, je suis certain que tu as beaucoup apprécié.

Il vint vers moi, prit mon visage entre ses mains, me fixa yeux dans yeux, puis posa sa bouche sur la mienne, me roula une pelle à laquelle je répondis.
Ses mains avaient quitté mes joues, se posaient sur mon cul chaud, massaient mes fesses rougies par l’une d’elles. Sans les lâcher, il recula ses lèvres :

- Rien de tel qu’une bonne fessée pour te rendre souple et docile. Buvons un verre, puis on décidera de la suite du plan.

John garda une main sur mon cul en me guidant vers une pièce qui devait servir de salon bar. Il fit le service et nous devisâmes de tout et de rien en dégustant  nos breuvages.
Les sujets épuisés, John me dit :

- Retournons dans ma chambre.

Comme je le précédai, il me claqua deux fois les fesses. Piqué au vif, je lui fis face, m’attendant au pire en le voyant un sourire narquois aux lèvres :

- Tu as omis : « Oui, Maître ! ». Ca passe pour cette fois, car on a mieux à faire, mais je te garde dix claques de paddle en réserve pour ton départ.

- Bien, Maître !

Sur place, il s’approcha de la table, prit un objet flasque en cuir noir, adapta une
petite pompe à la rondelle terminale, y envoya un peu d’air ce qui fit durcir l’objet qui était en fait un sexe de cuir, long de 25 cm environ, avec bien dessiné, la forme du gland conique à l’extrémité.
Il m’expliqua :

- C’est la copie exacte de ma bite au millimètre près soit 25cm. Comme tu n’as jamais été enculé, je vais te mettre cette copie encore flasque dans le cul, puis la gonflerai. Tu la garderas jusqu’au moment de partir, comme ça tu sauras par avance ce qui t’attendras le jour où je te ravirai ton pucelage anale. Va te mettre à genoux sur le lit, cul haut, bien cambré, cuisses ouvertes, tête sur l’oreiller.

Pendant que je prenais la position, il couvrit le gode d’une bonne couche de gel, me rejoignit avec en main un suppositoire conique long et gros comme un pouce, exposa :

- C’est du gel compact. Quand je te l’aurai introduit, il va fondre en deux ou trois minutes dans ton orifice et ça va le graisser.

John posa le gode sur une serviette, m’ouvrit les fesses d’une main ferme, posa le suppositoire à l’orée de mon trou du cul, poussa et laissa son doigt en moi quand ça entra.
Le suppositoire resta dans mon conduit, et, très vite, ça me piqua. Je dis :

- Ca pique ! Pourquoi, Maître ?

- C’est du gel alcoolisé à 70° afin qu’en même temps ça nettoie.

- Aaaaaaaye ! Ca pique trop, Maître ! Comme si ça brûlait.

- Arrête de te plaindre en permanence, sinon je vais te refesser, là ça te fera vraiment mal.

Je me tus, supportant les picotements sans broncher.
Peu après ça diminua et John fit coulisser son doigt en moi.

- Parfait c’est entièrement fondu.

Il fit sortir son doigt, s’empara du gode de cuir, le posa sur mon anus, et poussa doucement, fermement, sans heurt. Ca pénétra facilement, rampa en moi, qui le sentis m’emplir. A mi-chemin je serrai les fronces pour ralentir la progression. Sans le lâcher, John m’alloua deux claques sur chaque fesse, dit :

- Détend toi, tu vas le prendre en entier, donc prend ton mal en patience.

Je protestai :

- C’est trop long, Maître !

Tout en poussant plus fortement, il sourit :

- Je te l’ai dit : il est de la taille de ma bite, l’épaisseur en moins pour l’instant.

Très vite, ses doigts butèrent contre mon anus qui se refermait sur la rondelle terminale. Il attrapa la pompe, l’adapta sur le gode, et commença à pomper.
Je sentis la bite de cuir adhérer à mes chairs internes, prendre de l’ampleur et grossir en moi.
Quelques instants plus tard, je m’agitai, criai :

- Assez, Maître ! C’est trop gros ! Aaaaaaaye ! Pluuuuuuus ! Je vais éclater !

Quatre claques mirent fin à mes protestations ; John expliqua :

- Il n’explosera pas en toi, est réglé à mon épaisseur. Tant que je réussis à le gonfler, c’est qu’il n’a pas atteint la bonne taille.

Ca me semblait énorme, m’emplissait totalement, comme un très gros et long bouchon.
Puis ça ne prit plus d’ampleur. Je vis par le truchement du miroir John ôter la pompe et se lever ; il m’invita :

- Debout !

Comme je m’allongeai à plat ventre, il alloua quelques claques sèches sur mes fesses, m’exhorta :

- Allez, debout ! On ne va pas y passer la fin de journée !

Il me tira par un bras, et malgré la douleur qui me taraudait le ventre, je me retrouvai sur pied, le cul rempli par cette bite factice.

- Marche, maintenant !

Afin que je ne traîne pas, il fessa mon cul à larges claques qui me firent avancer d’abord à petits pas rétifs, puis, avec la douleur de la nouvelle fessée, je me mis à marcher presque normalement, quand même gêné par cette présence du gode de cuir en moi.

- Parfait ! Allons boire un verre, puis je le dégonflerai, l’enlèverai et te fesserai afin que tu rentres chez toi le cul bien rouge. Ca te plait puisque tu bandes.

- Oui, Maître !

Parvenus au séjour, je restai debout, bu à moitié le verre qu’il me tendit, puis John reposa le sien, me prit aux épaules, me poussa vers un tabouret bas, me força à m’asseoir sur le cuir, me faisant crier.
J’avais la curieuse impression que mon cul était rempli par ce gode, que son empreinte possessive resterait en permanence en moi.
Après ces échanges d’idées, John décida :

- Je vais t’enlever le gode.

Nous repassâmes dans sa chambre, il me fit reprendre la position précédente sur son lit, se ganta de latex, appuya sur la valve de la rondelle terminale et le gode perdit très vite de son ampleur.

Il y laissa un peu d’air, l’agita en tous sens, tira.
Ca me fit un peu mal au début, mes chairs internes ayant adhéré, mais ça sortit en produisant un chuintement visqueux que j’accompagnai d’un pet sonore qui me fit rougir. John en rit, dit :

- C’est une réaction normale.

Il alla déposer le gode sur un sopalin, ajouta en ôtant ses gants :

- Je le nettoierai quand tu seras parti.

Il prit place sur un tabouret, ordonna :

- En position fessée, après tu seras en retard.

Je restai à distance, arguai :

- La prochaine fois, Maître. J’ai vraiment encore trop mal à mon derrière !

- Regarde toi dans le miroir, tu verras que la rougeur de ton cul a bien diminué, alors viens vite, sinon c’est le paddle.

Soucieux d’éviter ça, je ne me tournai même pas vers la glace murale, m’allongeai à plat ventre sur ses cuisses de cuir. John positionna ma bite entre ses cuisses avant de l’enserrer fortement, me ceintura puis commença aussitôt la fessée.

Contrairement à la première fessée, il me claqua anarchiquement sur les deux fesses même pas en alternance : sa main percutait sèchement ma chair sur le globe droit, gauche, parfois deux ou trois fois le même. Très vite ça me fit mal et je criai avec désespoir :

- Pluuuuuuus, Maître ! S’il vous plaît ! C’est horrible ! Ca me fait maaaaaaal ! Arrêtez ! Ca suffit !

Sans varier la cadence infernale, ni la force des claques décernées à mon cul supplicié, il dit :

- Cesse tes jérémiades ! Comme ça tu vas penser à ma main toute la soirée. Avec un peu de chance, il sera encore rosé si tu reviens ici demain.
Je battais des jambes en tous sens, me contorsionnai contre lui qui me ceinturait solidement. John constatait :

- Sens comme ma main se plaît à fesser ton très beau cul nu, elle ne se lasse pas. Elle ne s’arrêtera que quand il sera uniformément rouge.

Au travers des larmes qui coulaient sur mon visage, je crispai mes mains sur le cuir de son pantalon, serrant, desserrant mes doigts, criai :

- Asssssssez, Maître ! Pluuuuuuus ! Je vous en supplie ! Ca me fait trop maaaaaaal ! Ca me brûle ! Je viendrai demain, mais arrêtez aujourd’hui !

- Je prends acte que tu viendras demain, ne vais pas tarder à arrêter cette fessée, encore juste quelques endroits à rougir !

John s’acharna surtout à la jonction cuisses fesses, puis la pluie de claques cessa de percuter mon cul en proie à un incendie infernale.

- Maintenant, embrasse la main qui vient de te fesser…
Il présenta devant ma bouche sa main fine, attendit.

- Encore quelques claques pour te décider à accomplir ce geste de soumission…
Je me redressai légèrement, posai mes lèvres sur la main offerte, notai qu’elle n’était même pas chaude. Il rit :

- Il était temps ! Je croyais que tu en voulais encore.
John porta ses deux mains à mon cul en feu, le caressa lentement dans toute son ampleur, constata :

- Il est parfaitement rouge comme j’aime qu’un cul le soit. Sache qu’avant de t’enculer, je te fesserai, car je ne pénètre que dans un cul bien rouge.

Il cessa ses caresses qui avaient calmé l’incandescence de ma peau, m’aida à me remettre sur pied, se leva et m’embrassa avec avidité. Je répondis avec autant de ferveur à son baiser buccale. Nos langues jouèrent, puis nous rompîmes.
On repassa dans le salon où nous bûmes un verre avant que je m’habille et rentre au domicile conjugal, après lui avoir promis de revenir le lendemain à 11h.

Je fus ponctuel au rendez-vous, le trouvai comme la veille torse nu avec son pantalon de cuir noir, suivis John dans sa chambre où il ne me quitta pas des yeux pendant que je me mettais entièrement nu.
Quand j’eus fini, il s’approcha de moi, prit mon visage entre ses mains et me roula une pelle matinale.
Tout en m’embrassant, ses mains me lâchèrent, allèrent directement se poser sur mon cul, me firent coller mon bas ventre contre le sien, tout en pelotant mes fesses avec… une passion non feinte.
Nos lèvres se séparèrent ; il commanda :

- Montre moi ton cul que je le vois bien.

Je le lui présentai, bien cambré.

- Il est redevenu entièrement blanc. Pas une seule marque. C’est parfait. Alors, ne perdons pas de temps, commençons tout de suite. Je sais que tu attends ta première fessée du jour avec une très grande impatience, mais je préférerai que tu bandes avant tout, donc j’ai ce qu’il faut.

Je restai près de lui pendant qu’il se gantait de latex, ouvrait un grand pot de verre rempli d’une crème translucide. Les doigts gauches John prirent une épaisse quantité de produit qu’il répartit sur ses paume et doigts droits, puis attrapa ma bite molle de la gauche, la décalotta et commença à me la masser avec la crème, s’appliquant à bien faire pénétrer le produit sur ma chair à vif.
Très vite, ça commença à me chauffer. Je piétinai, agitai mon corps, puis avançai les mains pour agripper la sienne alors que ma bite durcissait doucement bien qu’il ne me branlât pas. John tonna :

- Mains dans le dos ! Ne t’avise surtout pas de te protéger car c’est à la cravache que je te la ferai bander.
J’arrêtai mon geste de protection alors que lui lâchait ma bite, remettait un supplément de crème sur paume et doigts, puis me massait de nouveau, augmentant autant mon érection que l’échauffement de mon sexe.

Enfin jugeant suffisant mon durcissement, il cessa le massage, ôta ses gants de latex, me remorqua par un bras vers le tabouret servant aux punitions où il s’assit avant de me basculer à plat ventre sur ses cuisses de cuir, positionna ma bite bandée entre elles, les serra. La fessée manuelle allait commencer sans tarder.
Son bras gauche me ceintura, les claques commencèrent à tomber aussitôt après. A peine le temps de sentir la main percuter ma chair qu’une nouvelle claque succédait à la précédente.
Sous l’avalanche des smaquées qui frappaient mon cul, je criai rapidement ma douleur :

- Doucement, Maître ! Je suis encore sensible ! J’ai maaaaaaal ! Vous fessez trop fort ! Arrrrrrrêtez, s’il vous plaît, Maître ! Pluuuuuuus ! La fessée !

- Dis-tu ça parce que tu as envie du paddle ?    

- Nooooooon ! La fessée… La fessée… !

John éclata de rire :

- Puisque c’est toi qui le demandes, je continue la fessée dont tes fesses ont grand besoin.

Je pédalai dans le vide, frappai parfois le sol des pieds, et, collé contre son ventre, sentais sa bite bandée au travers du pantalon de cuir. Me fesser l’excitait toujours au plus haut point.
Puis soudain il arrêta la terrible correction, me fit relever, et, alors que je massai mes fesses douloureuses pour en atténuer la brûlure, il se leva et présenta sa main droite à mes lèvres. Je l’embrassai aussitôt. Il commenta :

- Tu as retenu la leçon, c’est parfait. Tu bandes toujours… Cette crème est vraiment très efficace. Maintenant comme promis, je vais te dépuceler. Ce matin, tu as bien chié, pas de souci de coté ?
La question crue me surprit, mais je confirmai.

- Tout va bien, Maître, je suis… Prêt.

John me sourit, me désigna le haut pouf de cuir noir à coté de son lit, commanda :

- A plat ventre là, je vais te mettre un suppositoire de gel puis on passera à l’acte.

Vaguement honteux, je m’étalai sur le pouf, collai mon visage contre le cuir froid qui me fit du bien.
Il s’agenouilla prêt de moi, me claqua deux fois les fesses :

- Ecarte tes cuisses !

Tournant la tête de son coté, je vis son gros vit recouvert d’un préservatif de cuir noir luisant de gel dans l’ouverture de sa braguette. J’en frémis, mais ne dis rien. Il écarta mes fesses de ses mains gantées de latex, posa le suppositoire gros comme le pouce sur mon anneau rectal, l’introduisit d’un seul élan et laissa son doigt dans mon cul.

Nous restâmes silencieux alors que je sentais comme la veille un picotement qui s’accentuait. Au bout de trois minutes, il agita son doigt dans mon conduit, dit :

- C’est fondu ! En place pour le quadrille !

John se positionna entre mes cuisses écartées, appuya d’une main sur mes reins pour me maintenir cambré, cul offert, aboucha son gros et épais gland conique sur mon anus, m’agrippa aux hanches et poussa avec force.
Je sentis un écartèlement très douloureux, suivi de l’entrée du vit massif en moi ; malgré ma bonne volonté passive, je serrai les fronces.

Deux claques sur mes fesses me firent relâcher ma résistance.
Le gland pénétra entièrement en moi et se trouva enserrer par mes fronces alors que je criai ma douleur :

- Aaaaaaaye ! Ca n’entrera plus, Maître ! Vous êtes trooooooop ! Gros ! Pas plus loin, Maître ! Ca suffit pour une première fois !

Sans bouger, pour m’accorder un temps de répit, John expliqua :

- Sois tranquille, tout va rentrer. Ton cul est souple, tu n’auras aucun dommage.

Il remit ses mains sur mes hanches, tira vers lui en poussant.
Je sentis le gland progresser douloureusement en moi, s’enfoncer d’avantage dans mon conduit. Son épaisse largeur se faisait affreusement sentir. J’essayai de freiner l’avancée, mais le gel empêchait toute résistance.

- Asssssssez, Maître ! Ca suffit ! Vous allez m’éventrer ! Ca fait trooooooop maaaaaaal ! Pitié, Maître !

- Il ne reste que cinq-sept centimètres et c’est fini !

John donna un dernier coup de ventre et je sentis le cuir de son pantalon contre mon derrière.

Il resta immobile alors que je me relâchais, bavant sur le cuir du pouf, enculé par les vingt cinq centimètres de sa bite.

La pause dura une ou deux minutes, puis il commença à se retirer, tenant solidement mes hanches.
J’eus d’emblée l’impression que ma peau interne était arrachée, collée au préservatif de cuir de la bite qui reculait.

- Nooooooon ! Ne bougez pas, Maître ! C’est horrible !

Mais, sans un mot, John opéra un lent retrait, ne laissa que le gland en moi. Puis il se renfonça d’un imparable coup, me faisant ahaner.
Les douloureux va et vient commencèrent, mais je les supportai de mieux en mieux, les accompagnais en soupirant.
Ce que voyant, mon Maître lâcha mes hanches et claqua mes fesses décrispées en cadence.
Parfois, il restait sans bouger, laissant juste son gland en moi, puis s’enfonçait à fond, d’un seul jet puissant, accompagné par mon cri bref :

- Ouaaaaaaah ! Nooooooon ! Maître ! Ca fait maaaaaaal !

- Branle-toi !

Je passai ma main sous mon ventre, attrapai ma bite toujours bien bandée et me branlais en cadence.
Sur un dernier enfoncement total, je sentis sa bite éjaculer dans le préservatif de cuir. Je la suivis un instant plus tard, éjaculais à mon tour.

John s’allongea sur mon dos, me fit tourner la tête vers son visage, posa sa bouche sur la mienne, me roula une superbe pelle.

Peu après il sortait sa bite ramollie de mes fesses, restait quand même sur mon dos, caressait langoureusement mon corps tout en m’embrassant passionnément.
Puis il se releva, claqua mes fesses, déclara gentiment :

- Debout, fainéant ! On va peut-être déjeuner avant que tu ne rentres chez toi !

- Oui, Maître !

Prenant pied, je vis la tâche de mon sperme sur le pouf, ajoutai

- Je vais nettoyer.

- Laisse, il en a vus d’autres. Essuie le juste avec le sopalin. Je prépare le repas.

Après m’être passé de l’eau sur le visage, je le rejoignis à la cuisine, toujours à poil.

J’avais servi le café, m’apprêtai à me rasseoir, quand John me tira par un bras, me faisant venir près de lui. Il posa sa main sur mes fesses, sourit :

- Elles sont déjà plus pâles. Je ne te laisserai partir qu’après les avoir de nouveau fessées. Sinon à peine la porte franchie, tu m’auras oublié.

Sans répondre, je me penchai vers lui, posai mes lèvres sur sa bouche et lui roulai une pelle.
Puis je me reculai, dis :

- Tu as eu mon pucelage anale, tu ne crois tout de même pas que je vais t’oublier à peine sorti de ton appart.

Quatre claques fortes percutèrent mes fesses.

- Qui t’a autorisé à me tutoyer ?

- Hors plan, je ne m’en priverai jamais, que ça te plaise ou non. Il y a une limite à tout.

Quatre nouvelles claques.

- Je te l’accorde. Buvons notre café, puis je te donnerai ta dernière fessée du jour.

Nous pénétrâmes dans sa chambre une demi-heure plus tard.
John m’embrassa pleine bouche tout en me passant les bras dans le dos, avant- bras repliés qu’il me tint dans sa main gauche, me serra contre lui et sa droite percuta aussitôt mon derrière décontracté.
Les claques se succédèrent rapidement alors que sa langue se mêlait à la mienne. Je rompis le baiser pour clamer ma douleur :

- Pas comme ça, Maître ! Aaaaaaaye ! Nooooooon ! Ca fait trooooooop… Maaaaaaal ! S’il vous plaît, Maître, arrêtez !

- M’arrêter ? Tu plaisantes ! Alors que ma main va se languir de ton cul jusqu’à ta prochaine visite… Au contraire, donne moi bien ton cul que je le fesse comme il se doit…

J’avais beau trépigner sur place, essayé sans y parvenir d’échapper à son emprise : il me tenait à sa disposition comme il voulait. Sa fine main percutait ma chair nue sans relâche, assénait une claque après l’autre sans faiblir. Je piétinai de douleur, me contorsionnai contre lui, sentais sa bite bandante sur mon flanc, criai :

- Nooooooon !... Plus la fessée, Maître !... Je vous en priiiiiiie ! Pitiiiiiiié ! Asssssssez ! Ca me chauffe trooooooop !

- C’est le but, que tu aies bien chaud pour rentrer chez toi, que tu sentes ma main sur ton cul le plus longtemps possible.

Puis sur deux très fortes smaquées, John cessa la correction, relâcha mes bras, me roula une pelle alors que mes mains massaient mes fesses bouillantes.
Ensuite, je me rhabillai, et à la porte il me demanda :

- J’espère que tu m’appelleras bientôt.

-J’ignore quand je serai libre, ce n’est pas une dérobade, mais dès que je le suis, sois tranquille, je t’en avise…