Nouvelles du reseau
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Ayant répondu à une annonce sur SM boy deux jours plus tôt, je me présentai comme convenu avec John vers 14h à son domicile de Paris 7ème. A la voix grave qui me répondit je me nommais : -Monte, quatrième droite. La porte fut déverrouillée, et quand je fus dans le nouveau hall en attendant l’ascenseur, je vérifiai ma tenue dans le grand et large miroir du mur latéral. - Entre, ne reste pas sur le palier. Je pénétrai dans l’appartement, continuais d’observer John vêtu d’un simple pantalon de cuir qui le moulait comme une seconde peau, torse nu imberbe. La chevelure blonde, bien peignée, ses yeux bleus, assez froid, me fixaient sans ciller. Il avait un nez droit, une bouche large. - Passons directement dans ma chambre. (Il précisa) Je suis toujours seul l’après midi, car sinon c’est l’appart de mes parents qui rentrent vers 20h. La pièce faisait au moins quarante mètres carrés. John avait allumé la lumière car les rideaux étaient tirés. Il s’assit dans un profond fauteuil, me laissa debout, me désigna une table sur laquelle reposaient des godes, martinets, un paddle, gants de latex et deux tubes de gel : - On n’utilisera peut-être pas tout. En attendant de commencer, tu as exactement 20 secondes pour te mettre à poil. (Il regarda son chronomètre au poignet, puis me fixa le regard goguenard). Tout dépassement sera facturé une claque la seconde. Je démarre quand tu commences afin de ne pas te voler. Soucieux de ne pas perdre de temps, encore moins de discuter, je commençai à déboutonner ma chemise, l’ôtai, me penchai pour délasser mes chaussures avant de m’en défaire, dégrafai ma ceinture, déboutonnai mon pantalon, baissai mon slip et déposai tout mes vêtements sur une chaise libre, fis face à mon hôte qui arrêta le chrono, annonça : - Deux minutes douze secondes. Pas mal. Si l’on ôte de ce temps de 132 secondes les 20 que je t’avais allouées, ta première fessée est fixée à 112 claques sur ton très beau cul nu. John quitta le fauteuil pour aller s’asseoir sur un tabouret au plateau de cuir noir, posa le chrono sur la table voisine, commanda d’un ton plus autoritaire : - Approche ! Je fis les deux pas nécessaires pour venir face à lui qui lâcha : - Tourne-toi, présentement seul ton cul m’intéresse. J’obéis sans tarder, offris mes fesses nues à son regard, puis à ses mains quand il les y posa, tâtant ma chair des ses longues mains aux doigts étrangement fins, presque féminins. Ecartant les deux globes jumeaux, il ordonna : - Penche toi vers l’avant que je mate ton trou du cul. John resta silencieux une bonne minute, puis déclara : - Ton orifice a l’air bien étroit… Il attrapa un gant de latex sur la table, s’en couvrit la main droite, présenta son majeur à ma bouche : - Mouille-le si tu veux que ça glisse bien. J’humectai soigneusement le long doigt ganté, puis il le posa sur mon anneau rectal et l’enfonça doucement, profondément, le fit aller et venir en tous sens avant de le sortir, commenta : - Pas de doute, tu es très étroit. As-tu été souvent enculé ? J’avouai : - Jamais. C’est la première fois que j’ai envie d’être totalement dominé par un garçon. J’ai déjà été fessé, mais jamais plus. Je suis bisexuel depuis l’âge de 18ans, mais suis dominateur. Tout se dégantant, John fit claquer sa langue contre son palais, approuva : -
Parfait. (Il me prit par un bras, me fit basculer à plat ventre sur ses cuisses recouvertes par le pantalon de cuir) Alors ne faisons plus attendre ce beau cul nu encore ferme pour ton âge. - Lorsque tu me réponds, tu dois toujours dire : « Maître ! », sauf si je t’en dispense. Donc tu auras dix claques supplémentaires pour ce manquement disciplinaire. Il en sera ainsi à chaque omission de ta part. Pigé ? - Oui, Maître ! - Cambre-toi bien, offre bien ton cul à la main qui va le claquer. J’obtempérai en acquiesçant : - Bien, Maître ! Son bras gauche me ceintura aux reins, et tout suite sa main droite percuta ma fesse droite, sèchement, y revint rapidement, exactement au même endroit. Par dix fois la grande main me claqua au même endroit avant de se décaler pour percuter un autre endroit toujours dix fois. - Aaaaaaaye ! Maître ! Ca fait maaaaaaal ! S’il vous plaît, plus la fessée ! Votre main me fait trooooooop mal ! - Parfait, tu commences à bien sentir mes claques ! C’est le but ! Sache que j’adore fesser un cul nu, j’aime le bruit que ma main produit sur la chair nue ! Je sentis, au travers de ma douleur, sa bite, sous le pantalon de cuir, qui était en pleine érection contre mon flanc gauche. Elle me semblait énorme tant en épaisseur qu’en longueur. - Pitiiiiiiié, Maître ! Arrrrrrrêtez ! J’ai trooooooop… Maaaaaaal ! S’il vous plaît, faîtes une pause ! - Que nenni ! Par contre voici la 56ème, alors je vais régaler ta fesse gauche sinon elle va être jalouse ! Je me gardai de tout commentaire, alors que mon globe gauche recevait sa toute première claque vite suivi des suivantes selon la même méthode. - Ca suffit, Maître ! Asssssssez ! Plus la fessée ! Je vous en prie ! Pitiiiiiiié, Maître ! Sans cesser de pédaler je me contorsionnai dans l’arceau du bras de John pour tenter d’échapper à cette terrible fessée manuelle. En vain : il me tenait très solidement, disait : - Voilà un cul qui rougit bien comme je l’aime. Une véritable tomate bien mure. Te voilà culotté de rouge comme il faut ; pas besoin de mettre de slip, un string te suffira. Encore deux claques… Voilà pour les cent douze, c’est fini ! Il me relâcha, expliqua : - Restent les dix dernières. Je t’accorde une pause dans ma grande bonté d’âme ! Je ne me le fis pas répéter, projetais mes mains vers mes fesses pour les masser afin d’en atténuer la brûlure. - Tu peux te lever, si tu veux. Je me mis debout. Par le truchement d’un grand miroir mural je vis qu’en effet mes fesses étaient aussi rouges qu’un coquelicot. - Ce sera parfait avec ça, à moins que tu ne préfères la cravache. Le bruit claquant de l’instrument me fit frissonner, néanmoins je répondis : - Comme vous voulez, Maître. - Bonne réponse. Prend appui sur la table avec tes mains, présente moi tes fesses bien cambrées, écarte un peu les cuisses que ton cul s’offre dans son entière plénitude. - Faîtes doucement, Maître, j’ai encore très mal. - Tu me prends pour un bourreau, ma parole. - Non, Maître ! Je pris la position requise, offris mes fesses à mon correcteur, serrai les dents. Par le truchement du miroir, je le vis lever le bras et le paddle percuta mon cul avec un bruit de pétard. - Aaaaaaaye ! C’est horrible ! Pitiiiiiiié ! C’était comme si dix claques manuelles m’avaient frappé en même temps. - Un ! Restent neuf ! En place, sinon on y sera encore demain ! - Epargnez-moi, Maître, ça fait trop mal, je ne vais pas pouvoir tout supporter ! - Cesse de gémir ! John releva son bras et, nouveau claquement aussitôt suivi du troisième. J’hurlai à pleins poumons tant la douleur était insupportable pour mes fesses meurtries. Il me laissa me masser le cul avant de m’ordonner de reprendre la position. - Les quatre derniers et tu seras tranquille. Les yeux humides de larmes, mains crispées à la table, fesses offertes, je vis John lever son bras et reçus très vite les quatre derniers coups de paddle. Alors qu’il reposait l’instrument de correction sur la table, je piétinai et massai vigoureusement mon cul en proie aux flammes de l’enfer. Il conclut : - Comme ça tu n’oublieras pas de m’appeler : « Maître », sinon ce sera paddle pour tes fesses ou cravache pour ta bite. Vu comme tu bandes après cette séance, je suis certain que tu as beaucoup apprécié. Il vint vers moi, prit mon visage entre ses mains, me fixa yeux dans yeux, puis posa sa bouche sur la mienne, me roula une pelle à laquelle je répondis. - Rien de tel qu’une bonne fessée pour te rendre souple et docile. Buvons un verre, puis on décidera de la suite du plan. John garda une main sur mon cul en me guidant vers une pièce qui devait servir de salon bar. Il fit le service et nous devisâmes de tout et de rien en dégustant nos breuvages. - Retournons dans ma chambre. Comme je le précédai, il me claqua deux fois les fesses. Piqué au vif, je lui fis face, m’attendant au pire en le voyant un sourire narquois aux lèvres : - Tu as omis : « Oui, Maître ! ». Ca passe pour cette fois, car on a mieux à faire, mais je te garde dix claques de paddle en réserve pour ton départ. - Bien, Maître ! Sur place, il s’approcha de la table, prit un objet flasque en cuir noir, adapta une - C’est la copie exacte de ma bite au millimètre près soit 25cm. Comme tu n’as jamais été enculé, je vais te mettre cette copie encore flasque dans le cul, puis la gonflerai. Tu la garderas jusqu’au moment de partir, comme ça tu sauras par avance ce qui t’attendras le jour où je te ravirai ton pucelage anale. Va te mettre à genoux sur le lit, cul haut, bien cambré, cuisses ouvertes, tête sur l’oreiller. Pendant que je prenais la position, il couvrit le gode d’une bonne couche de gel, me rejoignit avec en main un suppositoire conique long et gros comme un pouce, exposa : - C’est du gel compact. Quand je te l’aurai introduit, il va fondre en deux ou trois minutes dans ton orifice et ça va le graisser. John posa le gode sur une serviette, m’ouvrit les fesses d’une main ferme, posa le suppositoire à l’orée de mon trou du cul, poussa et laissa son doigt en moi quand ça entra. - Ca pique ! Pourquoi, Maître ? - C’est du gel alcoolisé à 70° afin qu’en même temps ça nettoie. - Aaaaaaaye ! Ca pique trop, Maître ! Comme si ça brûlait. - Arrête de te plaindre en permanence, sinon je vais te refesser, là ça te fera vraiment mal. Je me tus, supportant les picotements sans broncher. - Parfait c’est entièrement fondu. Il fit sortir son doigt, s’empara du gode de cuir, le posa sur mon anus, et poussa doucement, fermement, sans heurt. Ca pénétra facilement, rampa en moi, qui le sentis m’emplir. A mi-chemin je serrai les fronces pour ralentir la progression. Sans le lâcher, John m’alloua deux claques sur chaque fesse, dit : - Détend toi, tu vas le prendre en entier, donc prend ton mal en patience. Je protestai : - C’est trop long, Maître ! Tout en poussant plus fortement, il sourit : - Je te l’ai dit : il est de la taille de ma bite, l’épaisseur en moins pour l’instant. Très vite, ses doigts butèrent contre mon anus qui se refermait sur la rondelle terminale. Il attrapa la pompe, l’adapta sur le gode, et commença à pomper. - Assez, Maître ! C’est trop gros ! Aaaaaaaye ! Pluuuuuuus ! Je vais éclater ! Quatre claques mirent fin à mes protestations ; John expliqua : - Il n’explosera pas en toi, est réglé à mon épaisseur. Tant que je réussis à le gonfler, c’est qu’il n’a pas atteint la bonne taille. Ca me semblait énorme, m’emplissait totalement, comme un très gros et long bouchon. - Debout ! Comme je m’allongeai à plat ventre, il alloua quelques claques sèches sur mes fesses, m’exhorta : - Allez, debout ! On ne va pas y passer la fin de journée ! Il me tira par un bras, et malgré la douleur qui me taraudait le ventre, je me retrouvai sur pied, le cul rempli par cette bite factice. - Marche, maintenant ! Afin que je ne traîne pas, il fessa mon cul à larges claques qui me firent avancer d’abord à petits pas rétifs, puis, avec la douleur de la nouvelle fessée, je me mis à marcher presque normalement, quand même gêné par cette présence du gode de cuir en moi. - Parfait ! Allons boire un verre, puis je le dégonflerai, l’enlèverai et te fesserai afin que tu rentres chez toi le cul bien rouge. Ca te plait puisque tu bandes. - Oui, Maître ! Parvenus au séjour, je restai debout, bu à moitié le verre qu’il me tendit, puis John reposa le sien, me prit aux épaules, me poussa vers un tabouret bas, me força à m’asseoir sur le cuir, me faisant crier. - Je vais t’enlever le gode. Nous repassâmes dans sa chambre, il me fit reprendre la position précédente sur son lit, se ganta de latex, appuya sur la valve de la rondelle terminale et le gode perdit très vite de son ampleur. Il y laissa un peu d’air, l’agita en tous sens, tira. - C’est une réaction normale. Il alla déposer le gode sur un sopalin, ajouta en ôtant ses gants : - Je le nettoierai quand tu seras parti. Il prit place sur un tabouret, ordonna : - En position fessée, après tu seras en retard. Je restai à distance, arguai : - La prochaine fois, Maître. J’ai vraiment encore trop mal à mon derrière ! - Regarde toi dans le miroir, tu verras que la rougeur de ton cul a bien diminué, alors viens vite, sinon c’est le paddle. Soucieux d’éviter ça, je ne me tournai même pas vers la glace murale, m’allongeai à plat ventre sur ses cuisses de cuir. John positionna ma bite entre ses cuisses avant de l’enserrer fortement, me ceintura puis commença aussitôt la fessée. Contrairement à la première fessée, il me claqua anarchiquement sur les deux fesses même pas en alternance : sa main percutait sèchement ma chair sur le globe droit, gauche, parfois deux ou trois fois le même. Très vite ça me fit mal et je criai avec désespoir : - Pluuuuuuus, Maître ! S’il vous plaît ! C’est horrible ! Ca me fait maaaaaaal ! Arrêtez ! Ca suffit ! Sans varier la cadence infernale, ni la force des claques décernées à mon cul supplicié, il dit : -
Cesse tes jérémiades ! Comme ça tu vas penser à ma main toute la soirée. Avec un peu de chance, il sera encore rosé si tu reviens ici demain. - Sens comme ma main se plaît à fesser ton très beau cul nu, elle ne se lasse pas. Elle ne s’arrêtera que quand il sera uniformément rouge. Au travers des larmes qui coulaient sur mon visage, je crispai mes mains sur le cuir de son pantalon, serrant, desserrant mes doigts, criai : - Asssssssez, Maître ! Pluuuuuuus ! Je vous en supplie ! Ca me fait trop maaaaaaal ! Ca me brûle ! Je viendrai demain, mais arrêtez aujourd’hui ! - Je prends acte que tu viendras demain, ne vais pas tarder à arrêter cette fessée, encore juste quelques endroits à rougir ! John s’acharna surtout à la jonction cuisses fesses, puis la pluie de claques cessa de percuter mon cul en proie à un incendie infernale. -
Maintenant, embrasse la main qui vient de te fesser… -
Encore quelques claques pour te décider à accomplir ce geste de soumission… -
Il était temps ! Je croyais que tu en voulais encore. - Il est parfaitement rouge comme j’aime qu’un cul le soit. Sache qu’avant de t’enculer, je te fesserai, car je ne pénètre que dans un cul bien rouge. Il cessa ses caresses qui avaient calmé l’incandescence de ma peau, m’aida à me remettre sur pied, se leva et m’embrassa avec avidité. Je répondis avec autant de ferveur à son baiser buccale. Nos langues jouèrent, puis nous rompîmes. Je fus ponctuel au rendez-vous, le trouvai comme la veille torse nu avec son pantalon de cuir noir, suivis John dans sa chambre où il ne me quitta pas des yeux pendant que je me mettais entièrement nu. - Montre moi ton cul que je le vois bien. Je le lui présentai, bien cambré. - Il est redevenu entièrement blanc. Pas une seule marque. C’est parfait. Alors, ne perdons pas de temps, commençons tout de suite. Je sais que tu attends ta première fessée du jour avec une très grande impatience, mais je préférerai que tu bandes avant tout, donc j’ai ce qu’il faut. Je restai près de lui pendant qu’il se gantait de latex, ouvrait un grand pot de verre rempli d’une crème translucide. Les doigts gauches John prirent une épaisse quantité de produit qu’il répartit sur ses paume et doigts droits, puis attrapa ma bite molle de la gauche, la décalotta et commença à me la masser avec la crème, s’appliquant à bien faire pénétrer le produit sur ma chair à vif. -
Mains dans le dos ! Ne t’avise surtout pas de te protéger car c’est à la cravache que je te la ferai bander. Enfin jugeant suffisant mon durcissement, il cessa le massage, ôta ses gants de latex, me remorqua par un bras vers le tabouret servant aux punitions où il s’assit avant de me basculer à plat ventre sur ses cuisses de cuir, positionna ma bite bandée entre elles, les serra. La fessée manuelle allait commencer sans tarder. - Doucement, Maître ! Je suis encore sensible ! J’ai maaaaaaal ! Vous fessez trop fort ! Arrrrrrrêtez, s’il vous plaît, Maître ! Pluuuuuuus ! La fessée ! - Dis-tu ça parce que tu as envie du paddle ? - Nooooooon ! La fessée… La fessée… ! John éclata de rire : - Puisque c’est toi qui le demandes, je continue la fessée dont tes fesses ont grand besoin. Je pédalai dans le vide, frappai parfois le sol des pieds, et, collé contre son ventre, sentais sa bite bandée au travers du pantalon de cuir. Me fesser l’excitait toujours au plus haut point. -
Tu as retenu la leçon, c’est parfait. Tu bandes toujours… Cette crème est vraiment très efficace. Maintenant comme promis, je vais te dépuceler. Ce matin, tu as bien chié, pas de souci de coté ? - Tout va bien, Maître, je suis… Prêt. John me sourit, me désigna le haut pouf de cuir noir à coté de son lit, commanda : - A plat ventre là, je vais te mettre un suppositoire de gel puis on passera à l’acte. Vaguement honteux, je m’étalai sur le pouf, collai mon visage contre le cuir froid qui me fit du bien. - Ecarte tes cuisses ! Tournant la tête de son coté, je vis son gros vit recouvert d’un préservatif de cuir noir luisant de gel dans l’ouverture de sa braguette. J’en frémis, mais ne dis rien. Il écarta mes fesses de ses mains gantées de latex, posa le suppositoire gros comme le pouce sur mon anneau rectal, l’introduisit d’un seul élan et laissa son doigt dans mon cul. Nous restâmes silencieux alors que je sentais comme la veille un picotement qui s’accentuait. Au bout de trois minutes, il agita son doigt dans mon conduit, dit : - C’est fondu ! En place pour le quadrille ! John se positionna entre mes cuisses écartées, appuya d’une main sur mes reins pour me maintenir cambré, cul offert, aboucha son gros et épais gland conique sur mon anus, m’agrippa aux hanches et poussa avec force. Deux claques sur mes fesses me firent relâcher ma résistance. - Aaaaaaaye ! Ca n’entrera plus, Maître ! Vous êtes trooooooop ! Gros ! Pas plus loin, Maître ! Ca suffit pour une première fois ! Sans bouger, pour m’accorder un temps de répit, John expliqua : - Sois tranquille, tout va rentrer. Ton cul est souple, tu n’auras aucun dommage. Il remit ses mains sur mes hanches, tira vers lui en poussant. - Asssssssez, Maître ! Ca suffit ! Vous allez m’éventrer ! Ca fait trooooooop maaaaaaal ! Pitié, Maître ! - Il ne reste que cinq-sept centimètres et c’est fini ! John donna un dernier coup de ventre et je sentis le cuir de son pantalon contre mon derrière. La pause dura une ou deux minutes, puis il commença à se retirer, tenant solidement mes hanches. - Nooooooon ! Ne bougez pas, Maître ! C’est horrible ! Mais, sans un mot, John opéra un lent retrait, ne laissa que le gland en moi. Puis il se renfonça d’un imparable coup, me faisant ahaner. - Ouaaaaaaah ! Nooooooon ! Maître ! Ca fait maaaaaaal ! - Branle-toi ! Je passai ma main sous mon ventre, attrapai ma bite toujours bien bandée et me branlais en cadence. John s’allongea sur mon dos, me fit tourner la tête vers son visage, posa sa bouche sur la mienne, me roula une superbe pelle. Peu après il sortait sa bite ramollie de mes fesses, restait quand même sur mon dos, caressait langoureusement mon corps tout en m’embrassant passionnément. - Debout, fainéant ! On va peut-être déjeuner avant que tu ne rentres chez toi ! - Oui, Maître ! Prenant pied, je vis la tâche de mon sperme sur le pouf, ajoutai - Je vais nettoyer. - Laisse, il en a vus d’autres. Essuie le juste avec le sopalin. Je prépare le repas. Après m’être passé de l’eau sur le visage, je le rejoignis à la cuisine, toujours à poil. J’avais servi le café, m’apprêtai à me rasseoir, quand John me tira par un bras, me faisant venir près de lui. Il posa sa main sur mes fesses, sourit : - Elles sont déjà plus pâles. Je ne te laisserai partir qu’après les avoir de nouveau fessées. Sinon à peine la porte franchie, tu m’auras oublié. Sans répondre, je me penchai vers lui, posai mes lèvres sur sa bouche et lui roulai une pelle. - Tu as eu mon pucelage anale, tu ne crois tout de même pas que je vais t’oublier à peine sorti de ton appart. Quatre claques fortes percutèrent mes fesses. - Qui t’a autorisé à me tutoyer ? - Hors plan, je ne m’en priverai jamais, que ça te plaise ou non. Il y a une limite à tout. Quatre nouvelles claques. - Je te l’accorde. Buvons notre café, puis je te donnerai ta dernière fessée du jour. Nous pénétrâmes dans sa chambre une demi-heure plus tard. - Pas comme ça, Maître ! Aaaaaaaye ! Nooooooon ! Ca fait trooooooop… Maaaaaaal ! S’il vous plaît, Maître, arrêtez ! - M’arrêter ? Tu plaisantes ! Alors que ma main va se languir de ton cul jusqu’à ta prochaine visite… Au contraire, donne moi bien ton cul que je le fesse comme il se doit… J’avais beau trépigner sur place, essayé sans y parvenir d’échapper à son emprise : il me tenait à sa disposition comme il voulait. Sa fine main percutait ma chair nue sans relâche, assénait une claque après l’autre sans faiblir. Je piétinai de douleur, me contorsionnai contre lui, sentais sa bite bandante sur mon flanc, criai : - Nooooooon !... Plus la fessée, Maître !... Je vous en priiiiiiie ! Pitiiiiiiié ! Asssssssez ! Ca me chauffe trooooooop ! - C’est le but, que tu aies bien chaud pour rentrer chez toi, que tu sentes ma main sur ton cul le plus longtemps possible. Puis sur deux très fortes smaquées, John cessa la correction, relâcha mes bras, me roula une pelle alors que mes mains massaient mes fesses bouillantes. - J’espère que tu m’appelleras bientôt. -J’ignore quand je serai libre, ce n’est pas une dérobade, mais dès que je le suis, sois tranquille, je t’en avise… |