Les règles d'une bonne fessée

 

Texte que nous avons trouvé sur le net.
Vrai pour nous dans le cadre des jeux de fessées ou de l'initiation à la fessée.

Tout d'abord il doit être clair et rester à l'esprit des deux parties qu'il ne s'agit que d'un jeu auquel chacun peut mettre fin à tout moment. Comme chacun des partenaire doit y trouver son plaisir, il est essentiel que les "limites du jeu" soient préalablement fixées (intensité de la fessée, fessée manuelle et/ou avec instruments, simple déculottage ou nudité complète, caresses ou attouchements plus "sexuels" acceptés ou non lors de la fessée, etc...). Bien entendu le fesseur ne devra jamais transgresser ces limites ; il est essentiel qu'un climat de confiance règne entre les partenaires.

Si les partenaires conviennent que, pour augmenter le réalisme et pour leur plaisir mutuel, la victime pourra gémir, pleurnicher ou supplier, il ne faudra pas oublier de convenir d'un "mot clef" (comme STOP ou FIN DE JEU) permettant à la victime d'arrêter effectivement le jeu sans qu'il puisse y avoir confusion avec les supplications ou gémissements dont le fesseur ne tiendra pas compte.

Certains partenaires aiment corser le jeu en attachant préalablement la victime (bondage). Selon l'humeur ou les goûts cela peut aller simplement des mains entravées jusqu'au ligotage savant l'immobilisant totalement. Cette situation renforce bien entendu la sensation de totale dépendance chez la victime et celle de toute puissance du fesseur. Il va de soi que pour cela il est primordial que la victime connaisse bien son fesseur et ait parfaitement confiance en lui : si le fesseur "disjoncte" la situation peut virer au cauchemar... Sans être paranoïaque, un minimum de prudence tout de même.

En général, et sauf volonté de la victime de vivre un scénario précis, celle-ci laissera au fesseur l'initiative du déroulement des opérations (instant et modalités du déculottage, positions, etc...) en restant bien sur dans les limites fixées.

Une grande partie du plaisir de la victime étant ce subtil mélange d'excitation et d'angoisse durant l'attente du châtiment qui lui pend aux fesses, il est bon qu'il y ait plusieurs heures voire même une ou deux journées (mais pas plus à mon avis) entre la décision de la fessée et son exécution. Il est clair que chacun des partenaires doit se sentir obligé, sauf cas de force majeure, de respecter le rendez-vous pris. L'excitation ira en croissant au fur et à mesure que l'heure fatidique approchera surtout pour la victime si elle laisse une grande liberté d'initiative au fesseur (car ne sachant pas exactement à quelle sauce elle sera mangée, son imagination tournera à plein régime).

Pour être optimale une fessée doit inspirer de la crainte et de l'humiliation à la victime. L'humiliation est obtenue par le déculottage et la mise en position et est multipliée par la présence éventuelle de témoins (mais ce n'est pas très simple à mettre en œuvre). La crainte est obtenue par le fait que la fessée doit être une "vraie" fessée, c'est à dire qu'elle doit être vraiment douloureuse et cuisante. Sauf à être un véritable adepte du SM (auquel cas on préférera sans doute d'autre jeux que la fessée, mais ce n'est plus mon propos) il ne faut bien entendu pas exagérer l'intensité de la douleur. Tout l'art d'un bon fesseur est d'y aller progressivement sur toute la surface offerte pour maintenir le plus longtemps possible la victime juste en dessous de la limite ou la douleur dépasse le seuil de tolérance et au delà de laquelle la fessée n'est plus un plaisir.

Il ne faut pas hésiter à appliquer la fessée en plusieurs fois en laissant la victime souffler un peu. Les pauses de quelques minutes permettent à la victime de se remettre un peu pour se préparer à un nouvel assaut et sont un moment privilégié pour un changement de position.

Une fessée réussie est celle ou la victime a les fesses et éventuellement le haut des cuisses uniformément brûlants et bien rouge. Il ne faut bien entendu pas perdre de vue que les peaux mates rougissent moins facilement que les peaux claires (blondes ou rousses).

Sauf à y aller véritablement comme une brute, et la on sort du cadre de la simple fessée, l'avantage des fesses (en plus de leur attrait érotique) est que l'on ne risque pas de provoquer de lésion ni de traces durables. La douleur est très vive sur le moment mais s'estompe assez rapidement.