La triple pénitence (ou triple punition)

 

Quand un soumis fait une erreur, nous appliquons la règle de la triple pénitence.
La triple pénitence comprend, une sanction immédiate, une privation et un châtiment expiatoire.

 

1- La Sanction Immédiate :
C’est généralement une fessée de 20 à 100 coups administrés immédiatement après la faute.
L’instrument et la force des coups restent à l’appréciation du Maître en fonction de la faute commise.
Elle peut être scindée en 2 en fonction de sa gravité et de la présence d’un seul ou des 2 dominateurs.

2- La Privation :
Les privations peuvent vraiment être diverses et variées, autant dans leurs sévérités que dans leurs durées.
Cela peut être une privation matérielle :
- Privé de repas ;
- Privé de couverture pour la nuit ;
- Nuit en cage ;
Mais aussi une privation physique :
- Privé d’un œil ou des 2 yeux ;
- Privé de membres, du bras droit, des pieds… ;
- Privé de parole ;
- Limitation de mouvement, avec des chaines reliant différentes parties du corps ;
- Régression à l’état de chien, de larve ou d’objet (voir dans Lexique / évolution du soumis) ;
Cela peut être aussi plus léger comme :
- Une mise à coin ;
- Une privation de sortie ;
- Une privation totale de vêtement ;

Les privations physiques peuvent être particulièrement vicieuse car, même si le soumis est privé d’une partie de son corps il devra tout de même continuer à effectuer ses corvées ! Ainsi il peut se retrouvé à devoir repasser les chemises de son Maître, vite et bien, même s’il n’a qu’un seul bras. La privation peut donc être un risque, pour le soumis de recevoir d’autres punitions.

 

3- Le Châtiment Expiatoire ou Punition d'Absolution :
Cette punition est le plus souvent une fessée du double de l’ensemble des coups reçu dans la semaine. Elle est administrée une fois par semaine, généralement le dimanche matin.
Cette fessée pardonne toute les fautes commise par le soumis, à conditions que le soumis encaisse toute la punition comme il se doit, c'est-à-dire d’une traite, sans demandé de pose. Elle met donc fin à la privation si elle n’a pas été arrêtée avant.
Le châtiment expiatoire peut aussi faire l’objet d’une humiliation publique, soit devant des invités ou pendant une exhibition sur internet. Les fautes pourrons ainsi être dévoilé au publique qui pourra juger de la gravité des erreurs et intervenir en la faveur ou défaveur du soumis.

 

L’avis du bâtard :
Il se peut que nous demandions l’avis à notre soumis, sur la punition qu’il pense mériter.
Pas pour lui donner la punition (nombre de coups mérité, privation) qu’il désire mais pour savoir s’il à conscience de la gravité de la faute qu’il a commise.
Si nous pensons que le châtiment voulu est à l’échelle ou supérieur à la faute nous lui accordons la punition désiré.
Si par contre le soumis à sous évalué sa faute et sa punition nous administrons un châtiment beaucoup plus sévère.